Mabie - Don't mean nothin' but a good time

Mabel & Macie

Don't mean nothin' but a good time

La journée était particulièrement belle et chaude. Le soleil était magnifique et cela faisait un bien fou pour tous les vacanciers qui profitaient du soleil allongés sur la plage. Le sable brûlant réchauffait le cœur des plagistes qui foulait le sol de ses longues étendues de couleur beige. Posé sur une plage au calme, les cousines Wilson/Connor profitaient du temps pour bronzer et papoter entre filles. Leurs serviettes étaient étendues et les jeunes femmes, comme beaucoup d’entre s’étaient allongées. Sur le dos, Macie posa la main sur ses yeux. La plus jeune des Connor avait décidé de prendre sa journée avant que les choses ne s’accélèrent côté boulot. La chaine lui avait un e-mail la veille expliquant que le tournage du prochain épisode serait retardé de deux jours à cause de l’hospitalisation de l’un des acteurs principaux. Sa première réaction avait été d’appeler sa cousine Mabel pour savoir si celle-ci était libre pour une après-midi plage et farniente. Macie aurait pu aller voir cet acteur hospitalisé plutôt que de se prélasser au soleil mais c’était l’un de ceux qui la méprisaient et voulaient constamment changer ses répliques. Elle lui avait fait envoyer des fleurs par coursier en enfilant son maillot de bain.

Soudain un ballon vint claquer l’une des cuisses de Macie avant de rebondir et de venir frapper celle de Mabel dans un clac peu discret. Macie se releva sur ses coudes afin de constater qui venait de lui shooter dedans. Un petit garçon jouait et venait de shooter en direction des deux jeunes femmes. Se tournant vers sa cousine, elle demanda, un petit sourire aux lèvres : « On lui revoit le ballon à ce petit monstre ? Parce que ça faisait sacrément mal tout de même ! »

La blonde se mit en position assise puis essuya le sable collé à ses pieds en les frottant l’un à l’autre. « Pffiou, les gosses. »

Code by Fremione.

Repos, Soleil, Plage, trois mots qui étaient synonymes de bonheur pour Mabel. Quand Macie l'avait proposé de passer l'après-midi avec elle au Santa Monica Beach, il ne fallu pas longtemps à Mabel pour répondre par l'affirmative. La seule chose qui la contrariait c'était que cette plage était interdite aux chiens et qu'elle ne pouvait pas emmener Beck. Tout ça, c'était à cause de ses connards de touristes qui venaient se placer juste à côté de toi (alors que la plage faisait des kilomètres de long) et raler juste parce que ton chien avait osé mettre un grain de sable sur ta serviette. Connard. Surement des New-Yorkais. Tous des chieurs les New-Yorkais... Elle se mit rapidement en maillot de bain avant de partir, prit sa serviette, ses lunettes et direction la plage ! Après quinze minutes de métro étouffant, elle retrouva enfin Macie sous un cocotier. Après s'être salué et avoir prit de leurs nouvelles, elles allèrent se trouver un coin peinard pour s'installer sur le sable.

Elles étaient aller se baigner, et maintenant elles se doraient la pilule pour parfaire leur bronzage. Mabel en profitait aussi pour lire un magasine. Vogue. Elle ne savait pas pourquoi elle lisait ça, c'était de la merde, que du fake, donnant des fausses images, mais en passant devant le petit kiosque du métro, c'était le premier truc qu'elle avait vu et puis au moins, ça l'occupait. Elle était concentrée sur un de ses test à la con "qu'elle est votre chanson de l'été" quand LE ballon arriva dans leur champ de vision. Alors que Macie semblait plutôt clémente, Mabel se redressa avant de râler. "Putain de gosses de merde ! Vous pouvez pas faire attention !" Après, tout la plage était grande, mais il fallait qu'ils viennent les faire chier, elles. Ils pouvaient pas plutôt envoyer leur ballon sur le groupe des rois de la gonflette qu'elle voyait au loin ? Quand Macie proposa de leur rendre leur ballon, Mabel secoua vivement la tête de manière négative. "Ah non ! On l'a, on le garde ! Et encore, ils devraient s'estimer heureux que je n'ai pas de couteau sur moi, sinon je l'aurais planter leur ballon" ronchonna-t-elle.

@Macie Connor

Mabel & Macie

Don't mean nothin' but a good time

Jusqu’ici la journée avait été parfaite. Pas un seul nuage n’était venu boucher la vue des deux jeunes femmes et ce littéralement comme au figuré. Il n’y avait d’ailleurs pas un seul nuage tout court dans ce ciel bleu divin de Los Angeles. Pour profiter de toutes ces journées ensoleillées, Macie refuserait de changer de ville si on le lui demandait. De toute façon, elle se doutait bien que personne ne voudrait lui demander de changer de ville. La jeune femme se dit que quelques fois, elle avait d’étranges questions qui lui passaient par la tête et qu’elle ne comprenait bien souvent pas pourquoi elle se les posait. Peut-être était-ce un signe de stupidité, d’ignorance ou simplement celui qu’elle pensait bien trop et se préoccupait de bien trop de choses pour que son esprit tourne rond tout le temps. Il fallait dire que la jeune femme avait une imagination débordante. Tellement qu’elle avait besoin de plusieurs projets en même temps pour complètement s’épanouir.

Un ciel sans nuage ne pouvait pas durer bien longtemps. Il fallait bien qu’une ombre au tableau vienne changer le cours de leur journée. Cette ombre avant une forme ovale et se trouvait être un ballon. Ayant réagi avant sa cousine, Macie se doutait bien qu’il lui faudrait tout de même tempérer Mabel. Elle avait beau adoré sa cousine et la trouver absolument géniale, celle-ci avait tout de même un sacré caractère que peu de gens pouvait réellement gérer correctement les émotions et réactions de la jeune Wilson. Lorsque Mabel se redressa, Macie se doutait bien de ce qu’allait dire sa cousine. Ce à quoi elle répliqua. « Mabel, surveille ton langage c’est un gosse. Il a certes fait une connerie mais pas besoin de l’insulter ainsi. » Puis elle fit une pause avant d’ajouter. « La vie se vengera bien pour toi un jour. » C’était méchant mais cet événement l’avait quelque peu mis sur les nerfs.

Quant à l’avenir du ballon, la réponse de sa cousine ne se fit pas attendre et ne fut pas le moins du monde étonnante. « On se fait une partie alors ? Maintenant qu’il est à nous ? » A peine eut-elle fini de poser sa question qu’elle aperçut la mère du gosse qui tirait une tête de dix pieds de long prête à les démonter. « Quoique… On devrait peut-être lui rendre… Sa mère n’a pas l’air commode. »

Code by Fremione.

Mabel fit la moue quand sa cousine la reprit. Putain, c'est les gosses qui envoyaient leur ballon dans leur gueule et c'est elle qui se faisait engueuler. C'était le monde à l'envers. Elle leva les yeux au ciel, avant d'adresser un regard blasé à Macie. "Qu'est-ce qu'il a mon langage ? T'as entendu les gosses de nos jours ? Ils ont six ans mais t'insultent quand même de grosses putes... Ce que j'ai dis, c'est rien à côte de ce qu'ils ont déjà pu entendre...". Elle n'avait pas l'impression d'être une vieille peau, et pourtant, elle était déjà dépassé par les nouvelles générations, ne comprenant plus les nouvelles modes ou alors les trouvant ingrats. Elle n'avait que 24 ans et pourtant, de sa bouche sortait déjà la phrase : "Non, mais les jeunes de nos jours...". Puis Macie lui dit qu'un jour la vie se vengerait sur elle et Mabel ne put s'empêcher de rire. "Désolée Macie, mais le karma, je n'y crois pas vraiment. Sinon, si ça existait vraiment, j'aimerais bien savoir comment Trump est devenu président...".

Mabel gardait bien précieusement le ballon qu'elle avait calée sur ses jambes plier en tailleurs. Elle posait la main dessus, jetant des regards accusateurs aux enfants dès qu'ils approchaient d'elles. On aurait presque dit Gollum et son précieux. "Ouais, on le garde ! Rien à foutre de leur mère, elle n'avait qu'à mieux les surveiller. En plus, elle ne me fait pas peur. T'as vu à quoi elle ressemble ? On dirait un coton-tige, j'suis sûre qu'avec une main, je l'étale !" dit-elle sûre de soi. Elle se leva avant d'épousseter rapidement le sable qu'elle avait sur les fesses. La plage, certes c'était bien pour se détendre, mais le sable dans la raie du cul, c'était moins cool. Elle tendit sa main à Macie pour l'aider à se lever. "On fait quoi, foot ou beach-volley ?"

@Macie Connor

Mabel & Macie

Don't mean nothin' but a good time

Observant toujours la mère du petit malfrat, Macie tentait de comprendre pourquoi celle-ci tirait une tête de dix pieds de longs qu’elle adressait aux deux cousines plutôt qu’à son idiot de fils qui avaient envoyé sa balle en direction de deux jeunes femmes. Décidément à force de passer du temps avec sa cousine, Macie commençait à penser comme elle. Elle finirait peut-être par devenir une grand-mère dans sa tête. « Reste calme Mabel, riait-t-elle. Je suis de ton côté. Je connais les gosses d’aujourd’hui mais pas la peine d’étendre leur vocabulaire, ils n’en ont vraiment pas besoin que tu les aides à l’élargir. » Plus Macie passait du temps avec sa cousine plus elle avait l’impression que la plus jeune des deux c’était elle et pourtant non, Macie avait 26 ans tandis que Mabel n’en avait que 24. Une différence de deux ans qui semblait une éternité entre les deux blondes. « Si Trump est devenu président c’est à cause du karma crois-moi. Beaucoup d’américains ont voté comme une bande de cons et maintenant, il est président. Un jour, il va se faire tuer et le karma lui jouerait un tour. » Elle ne croyait absolument pas au Karma à vrai dire.
Pour elle, il s’agissait d’une simple excuse pour calmer sa cousine et un petit espoir que Trump finirait par le payer. Si le karma existait, pourquoi donc sa sœur et sa mère était malade. Cela n’avait absolument aucun sens.
Macie éclata de rire en écoutant les propos de sa cousine sur la mère. Elle venait en un instant de décrédibiliser la mère des mioches aux yeux de Macie. « Non mais toi alors ! Qu’est-ce que je ferais sans toi ? » déclara la plus âgée toujours hilare. La mère des gosses semblait toujours aussi menaçante mais à présent Macie s’en fichait singulièrement. Acceptant la main tendue de sa cousin, Macie se releva et répondit « Beach-volley. C’est plus drôle de te voir te ramasser la tronche. »

Code by Fremione.

@Mabel G. Wilson

Rester calme ? C'est un mot que Mabel ne connaissait pas. Raler était bien trop ancré elle. Sa moue s'accentua un peu plus, battant sûrement le record de Grumpy Cat. "Franchement, je suis pas du même avis que toi... Je suis sûre que même eux connaissent des jolis mots dont même moi je n'aurais pas connaissance". Elle essayait le plus possible de rester à la page, mais c'était de plus en plus dur. Elle comprenait de moins en moins les gosses et leur vocabulaire. Quel mot avait-elle entendu l'autre jour ? Tchoin... Ouais, c'est ça, tchoin... Mais c'est quoi ça putain ? Déjà qu’elle trouvait ce mot immonde, ne pas savoir ce qu’il signifiait l’agaçait encore plus. Elle fit claquer sa langue contre son palet, pour marquer encore plus son agacement.

La discussion revient sur le karma, Mabel secoua la tête pour montrer son désaccord. «Ce n’est pas que les américains ont voté comme des cons, c’est que les américains sont cons.» Mabel avait un peu du mal avec la mentalité de certains de ses compatriotes. Elle n’avait jamais eu ce moment de fierté quand elle parlait de ses origines. Elle avait le sentiment que les américains étaient de vieux bouseux, incapable de réfléchir, et elle se comptait dans le lot. Bien sûr il y avait des exceptions, il y a toujouuuurs des exceptions, mais elles étaient bien rare. «Si Trump doit crever, ça serait d’un cancer de la peau et le karma n’a rien à voir avec ça. Sérieux, tu as vu son teint ? Il est orange le mec a force de se griller au UV.» Mais outre cette boutade, elle se demandait vraiment comment une telle personne avait pu finir président des États Unis et elle en détestait encore plus son pays. Elle songeait de plus en plus à prendre son voilier, se casser et faire un long voyage autour du monde, seule, sans personne pour la faire chier.

Mabel sourit doucement et haussa les épaules avec négligence à la phrase de sa cousine. «Pas grand chose je ne crains. Tu sais bien que je suis indispensable à ce monde.» dit elle avec ironie. Elle gardait un ton de voix tellement neutre si bien qu’il était impossible de se tromper sur l’intention de cette phrase. Même un idiot comprendrait l’ironie de la phrase. «Pardon ?!» dit la blonde quand Macie insinua qu’elle perdrait, elle pinça les lèvres, mimant un air agacé. «C’est plutôt toi qui va te ramasser la tronche. Rappelle moi qui s’est fait écrasé la dernière fois ? Car ce n’est pas moi !» dit-elle en souriant. Elle se dirigeât avec sa cousine vers les petits terrains de volley aménagés sur la plage. Heureusement qu’ils étaient car ce n’est pas en étant entassés les Un sur les autres qu’elles auraient pu jouer de manière agréable. «Prête à te prendre une branlée ?». Elle n’attendit pas vraiment la réponse de Macie et dit aussitôt le service en tapant dans la balle de toute ses forces.

@Macie Connor

Mabel & Macie

Don't mean nothin' but a good time

Macie fixait sa cousine debout en face d’elle. Elle ne savait même pas pourquoi elle avait dit à Mabel de rester calme. Elle connaissait sa cousine et elle n’avait rien de quelqu’un de calme. Bien au contraire. Mabel avait un tempérament quelque peu étrange pour une jeune femme aussi jeune. Très souvent, elle pensait comme une vieille et agissait comme tel, ce qui faisait beaucoup rire la plus jeune des Connor. « Oui, je crois que tu as raison. J’ai une certaine tendance à être un peu utopiste pour la prochaine génération. Malheureusement, ils deviennent de pire en pire. » Il était vrai que maintenant les enfants utilisaient des mots extrêmement vulgaires à des âges trop jeunes. Mabel était une créature étrange mais Macie l’adorait. Elle lui fit un bref clin pour remédier à son agacement.

Mabel enchaîna sur Trump. Oui, elle avait raison. « Je sais, Mabel. C’est bien ce que je sous-entendais. Nous vivons avec un peuple de demeurés et pour le moment, on ne s’en sort pas très bien. » Elle marqua une pause puis ajouta : « J’espère vraiment que ce bouffon, il va lui arriver des bricoles et vite, parce que sinon ça va commencer à craindre. On a quand même une orange à perruques comme président… » Il était quand même dingue que des gens aient pu choisir en masse d’élire un président aussi débile et agissant de manière aussi grossière. Les Etats-Unis avaient sombré dans une bien glauque époque. « Mon dieu mais que nous allons devenir. » soupira Macie.

Macie sourit à sa cousine faisant de l’ironie avant de lui répondre : « Mais si, tu es indispensable à la vie d’une certaine Connor qui va te terrasser. » Oui, Macie continuait de provoquer la cousine Wilson. « Oui, j’ai perdu la dernière fois mais j’avoue qu’en fait je t’ai laissé gagner cette fois-là. Histoire que tu puisses te vanter auprès de tes potes pour une fois. » C’était faux, la dernière fois, elle avait bien perdu et de manière assez moche d’ailleurs. Elle suivit sa cousine puis, prise par surprise, elle renvoya la balle avant d’ajouter : « Non mais toi je sens que tu es prête à t’en prendre une magnifique ! »

Code by Fremione.

@Mabel G. Wilson

Utopiste. C'était un joli mot pour définir sa cousine, et il trouvait que cela lui allait bien, la définissait parfaitement. Mabel adorait Macie, mais parfois, elle trouvait que la jolie blonde avait tendance à voir le monde de manière un peu trop rose. "Tu es utopiste, je suis défaitiste, à nous deux, on fait une bonne moyenne." dit la râleuse experte avec un sourire. Mais parfois, elle se demandait s'il existait vraiment un milieu ? Des personnes n'étant ni trop utopiste, ni trop défaitiste, elle n'arrivait pas à en voir souvent... Ou alors c'était peut-être son esprit de rabat-joie qui lui faisait penser ça... Ce n'était pas une chose impossible. "Les prochaines générations me font peur" dit Mabel en hochant la tête. "Quand je les vois, j'ai l'impression que je vais finir vieille folle avec mes chats avec l'envie de leur lancer de la litière à la gueule." Le pire, c'est qu'elle savait que même aujourd'hui elle en serait capable. A une exception prêt, le fait qu'elle détestait les chats... Dans ce cas, elle lancerait les crottes de Beck.

Mabel hocha vivement la tête et mima un amen quand Macie dit qu'elles vivaient dans un peuple de demeurés. Elle était on ne peux plus d'accord avec elle. De toute façon, elle ne faisait pas confiance à un peuple où dans certains états, des lois tels que "Il est illégal de tirer au fusil sur quoi que ce soit depuis sa voiture, sauf si c'est une baleine" existaient... America Fuck Yeah... "Espérons que le congrès refuse ses lois ou qu'il crève à cause d'un ulcère avant qu'il ai déclenché la troisième guerre mondiale." Vu comment il s'énervait et beuglait dans son micro à chaque fois qu'il faisait une conférence, l’hypothèse de l'ulcère restait très crédible aux yeux de Mabel. La jeune femme tapota sa cousine dans son dos en poussant un soupir las avant de dire sur un ton mi-figue mi-raisin "Je te propose qu'on s'exile au Guatemala et qu'on ouvre un élevage d'alpagas. Loin des Usa. Loin de Trump. Ça te tente ?"

"Haha ! Je savais très bien que tu ne pouvais pas te passer de moi. Je suis sûre que tu as un autel à ma personne" répondit la jeune blonde à sa cousine, jouant le jeu jusqu'au bout. "Et pardon ? Tu dis que tu m'as laissé gagner c'est une excuse de faible ça !" Elle lui tira la langue avant de mimer le L de Looser sur son front. "Jamais je ne perdrais !" conclu-t-elle avant de tenter un smash.

@Macie Connor

Mabel & Macie

Don't mean nothin' but a good time

Tellement de choses différencier les deux cousines. L’une était le jour avec son sourire à toute épreuve et la seconde était la nuit avec son pessimisme persistant. Comme le disait à l’instant Mabel, elle faisait une bonne moyenne. « Je dirais même qu’on se complète cher cousine ! » Dit l’utopiste en répondant au sourire de sa cousine. « Je n’aurais pas mieux dit à vrai dire. » Mabel et son pessimisme déclara quelque chose que la jeune femme Connor ne put qu’approuver. « Oui, ils deviennent de plus en plus inquiétants. J’espère vraiment que cela finira par s’améliorer. Sinon, je vais te retrouver au fond des bois avec tes chats. » Plaisanta t-elle. « Si jamais tu as des chats un jour bien sûr ! » Macie connaissait sa cousine. Il était bien plus possible qu’elle vit seule avec son chien Beck empaillé qu’avec des chats vivants.
« J’espère qu’il va crever d’un ulcère à cause du dirigeant Nord-Coréen. Car les lois risquent de passer avec des gens aussi cons que ceux qui l’ont élu. »

La jeune Macie tenta de se concentrer sur la balle que sa cousine s’apprêtait à renvoyer une fois de plus. Les deux jeunes femmes étaient très compétitives l’une envers l’autre et cela menait bien souvent à un règlement de compte en match de toutes sortes. Ce jour-là, le volley-ball avait l’avantage de les faire courir et de le permettre de se chamailler gentiment. « J’approuve, allons nous isolons au Guatemala ! C’est une excellente idée ! Il y fait chaud et les alpagas sont des bêtes qui te ressemblent. » lâcha la blondinette en tirant la langue à sa cousine. « C’est toi qui a un autel, j’en suis sûr ! »

Macie se fit avoir et le smash de sa cousine frappa mollement le sol. La jeune Connor poussa un cri de rage et relança le ballon, gonflée à bloc, prête à mettre la pâté à sa charmante cousine.

Code by Fremione.

@Mabel G. Wilson