une nuit de travail comme les autres - PV Léo

UNE NUIT DE TRAVAIL COMME LES AUTRES

LEO & SAM

J'étais arrivé un peu en avance au travail, j'avais besoin de parler à Alistair, mais je n'avais pas du tout envie que mes collègues me vois aller le voir dans son bureau. Depuis les rumeurs de cette blogueuse, beaucoup pensait qu'il y avait quelques chose entre Alistair et moi, enfin du moins une promotion canapé, du coup mes collègues ce faisait des idées, elles pensaient que je cherchais à obtenir une place plus importante et que tu coup je donnais de mon corps à Alistair, alors que pas du tout. Bref, je me rendis dans son bureau, pour lui parler un peu, j'avais envie qu'il dise qu tout cela n'était qu'une rumeur, mais lui ça le faisait rire, il me proposa même de le faire pour de vrai, histoire de faire taire la rumeur, je préféra ne pas répondre et me rendis dans la salle de pose des filles du club.

Je me changea, ce soir j'étais beaucoup plus en salle que sur scène, bien que cela m'arrangeais, je préférer aller sur scène, au moins je n'aurais pas de réflexion. Mais bon, une fois changer, je me rendis dans la salle du club, la musique était forte et c'était déjà pas mal la folie dans le club. Je passa de l'autre côté du bar et commença mon service. Je vis Alistair, qui s'approcha des filles qui étaient au bar, pour nous prévenir qu'il avait à faire dehors, mais qu'il revenait au plus vite, puis il s'éloigna, je le regarda partir, il n'était pas si mal, non il était carrément sexy comme homme, perdu dans mes pensés, je fus rappeler à la réalité, quant un clients me demanda une boisson, je sortie de mon état de rêve et me remise au travail.

Bien entendu que je rêvais de mieux pour mon avenir, mais pour le moment, je ne me voyais pas partir du club, j'avais besoin d'argent, puis j'avais signer un contrat avec Alistair, je ne pouvais pas partir comme cela, puis surtout, j'avais besoin d'argent.

electric bird.

Une nuit de travail comme les autres

feat. Sameira A. Gimenez

J'allais définitivement tuer ce qui osait me servir de frère. C'est pourtant pas compliqué de répondre à un simple coup de téléphone, si ? De le prendre, d'appuyer sur la touche répondre, la verte. J'espérai secrètement pour lui que si je le croisais 1) qu'il courait vite 2) que je ne le croise pas. Les crises de ma mère, c'est une douce mélodie par rapport aux miennes. J'ai donc décidé de m'aventurer dans son club de striptease, à croire qu'il y habitait ! Je suis entrée dans le bâtiment, lançant un regard à la ronde. J'ai saisi mon téléphone. "Alistair Clemente Jacobs, c'est encore et toujours Léo, tu sais, ta soeur qui aimerait enfin te parler ! Dis-je au répondeur avant de raccrocher. Il me le paiera. Je me suis assise au bar avant d'héler une serveuse.
- Excusez moi ! Bonsoir, je cherche Alistair Jacobs, vous ne l'auriez pas vu ?
Demandas-je d'une petite voix, étant donné que la musique la recouvrait. Sérieusement, comment je peux l'embêter dans des conditions pareils ? C'est pas croyable.

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