Accueil  Rechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrer  Connexion  
Fermeture du forum

Le staff a décidé de fermer le forum ;-; Pour plus d'informations c'est ici.
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Partagez
 

 the smell of coffee (hartwell père & fils)

Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
InvitéInvité
Anonymous

the smell of coffee (hartwell père & fils) Empty
#MessageSujet: the smell of coffee (hartwell père & fils)   the smell of coffee (hartwell père & fils) EmptyMar 4 Avr - 15:45



the smell of coffee

weston & tate
Appâter Tate, c’était quand même hyper facile. Une proposition de café et c’est bon, le tour était joué. Putain, avec le recule, il se disait qu’il avait de la chance de ne jamais avoir croisé de vieux monsieur disant avoir une camionnette pleine de bonbons. Il aurait été du genre à courir dans ladite camionnette. Quel débile ce gosse. Enfin ceci dit, aujourd’hui, ça ne le gênait pas d’aller dans la camionnette d’un mec plus âgé s’il était beau. Mais ça, c’était une autre histoire qui ne regardait que lui, ses plans culs et les pauvres camionnettes. Quoi qu’il en soit, il avait donc accepté un café avec son père. Depuis le divorce de ses parents, c’était assez compliqué les histoires de famille. Tate était au milieu, comprenant les raisons des deux partis. Son père, il était encore amoureux de sa mère et franchement, depuis le temps, c’était quand même étonnamment mignon… Dommage que ce ne soit pas réciproque… Il ne pouvait pas juger sa mère de toute façon. Elle avait eu la décence de mettre fin à leurs relations plutôt que de faire semblant. Tate en venait parfois à se demander si ses géniteurs étaient resté ensemble uniquement parce qu’ils avaient eu un accident de capote ou de pilule (il ne voulait pas détails pour ça). C’était assez triste et une part de lui trouvait ça complètement con comme réflexion. Après tout, il avait été aimé et choyé, il n’avait manqué de rien avait tout pour être heureux. Mais c’était comme ça, les sentiments, ça ne s’expliquait pas forcément…

Enfin bref, il avait attaché et muselé Nietzsche, son magnifique Rottweiler, encore jeune mais assez imposant de par sa race. Quitte à marcher, autant sortir le chien. L’étudiant avait donc insisté pour un café avec terrasse. Après tout, ils étaient en Californie, il ne risquait pas de se mettre à neiger ! Il fit donc le chemin avec son chien, veillant bien à ce que celui-ci boivent un coup avant qu’ils arrivent au café. Il ne voulait pas être de ces connards qui négligeaient leurs animaux, Nietzsche était comme un pote pour lui… il était même plus compatissant que certains de ses potes, lui au moins il ne se foutait pas de sa gueule lorsqu’il gerbait à côté des chiottes parce qu’il était trop bourré… L’amitié entre mecs, c’était parfois assez chelou comme principe. Quoi qu’il en soit, une fois arrivé au café, le brun alla rejoindre son daron… Et ouais, Hartwell père et fils dans un lieu public… Si un putain de paparazzi passait dans le coin, Tate lâchait Nietzsche… menacé pourrie, le chien en plus de ne pas être totalement adulte, était un vrai marshmallow, mais chut. Il bloqua donc la laisse à sa chaise. « Salut. Ça va ? Tu connais Nietzsche ? Maman me l’a offert y a pas longtemps. » Après leur séparation pour être honnête, mais il préférait ne pas partir sur ce terrain-là. Après tout, ils n’étaient pas là pour parler de trucs tristes mais pour passer un bon moment entre père et fils. Son père faisait des efforts pour lui.

CODES BY MAY ET AVATARS BY BALACLAVA & L.MACTANS


Dernière édition par Tate Hartwell le Mer 5 Avr - 21:43, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous

the smell of coffee (hartwell père & fils) Empty
#MessageSujet: Re: the smell of coffee (hartwell père & fils)   the smell of coffee (hartwell père & fils) EmptyMer 5 Avr - 18:01

Weston quitta les plateaux de cinéma au pas de course aujourd'hui. Il devait retrouver son fils pour discuter de tout et de rien autour d'un café. Depuis le divorce, il le voyait moins ne résidant plus au domicile familial de Beverly Hills. C'est pour cela qu'il essayait de profiter et chérir chaque petit moment qu'il pouvait passer avec lui. Il arriva en avance au café et Weston s'assit en terrasse, d'une part, il faisait bien trop beau pour s'enfermer à l'intérieur et de plus Tate lui avait dit qu'ils devaient absolument être en extérieur, sans qu'il ne sache vraiment la raison, mais comme d'habitude, Weston décidait de ne pas s'en formaliser. Il patientait, en lisant un vieux bouquin, ignorant les murmures des gens qui devaient surement parler de lui, quand son fils arriva. Il se leva afin de lui faire la bise mais se retrouva paralysé quand il vit l'animal qui l'accompagnait. Depuis quand Tate avait un chien ? Il regarda à nouveau la bête, peu rassuré, comme à chaque fois qu'il était en présence d'un chien. Depuis qu'il était petit, Weston avait une peur bleue des canidés. Sa phobie remontait de cette fois où il devait avoir quatre ou cinq ans, il avait voulu jouer avec un chien qu'il venait de croiser dans un parc, seulement que l'animal ne le connaissant pas avait prit peur et mordu le petit question. Depuis ce jour, Weston gardait une cicatrice sur l'avant et une peur incontrôlable des chiens.

Tate lui présenta la bête tandis que Weston se rasseyant, tout en gardant un œil méfiant sur le chien. Quand son fils dit que c'était un cadeau de sa mère, Wes ne put s’empêcher d'avoir un sourire triste. Bien sûr... Il n'en était pas étonné. April avait toujours voulu avoir un chien, mais avec sa phobie, il l'avait toujours refuser. Alors maintenant qu'il était parti, elle en profitait. Elle avait raison d'un certain côté... Weston sourit doucement à son fils avant de dire. "Il est très..." Terrifiant ? "beau...". Il se risqua à jeter un dernier coup d'oeil à l'animal. Mon dieu, il avait l'air d'être jeune, mais déjà bien imposant. Il était sur que l'animal ne pourrait faire que deux bouchés de lui s'il le voulait. Heureusement que Tate l'avait muselé, sinon Weston serait déjà parti se cacher à l'autre bout du café. De plus, l'animal semblait calme et cela le rassurait un peu, même s'il ne pouvait pas s'empêcher de le regarder nerveusement.

"Sinon ça va toi ? Les cours se passent bien ?" demanda-t-il à Tate pour essayer de penser à autre chose. Le serveur arriva pour prendre les commandes et Weston choisit un expresso et ne pu s'empêcher de commander avec un petit fondant au chocolat, l'appel du sucre étant trop fort.

@Tate Hartwell
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous

the smell of coffee (hartwell père & fils) Empty
#MessageSujet: Re: the smell of coffee (hartwell père & fils)   the smell of coffee (hartwell père & fils) EmptyJeu 6 Avr - 18:51



the smell of coffee

weston & tate
Le fait que son père se ravise en voyant Nietzsche n’avait pas échappé à Tate. Ils n’avaient jamais eu de chien à la maison, peut-être que son vieux ne les aimait pas. Rho, mais son petit rottweiler était vraiment trop mignon pour ne pas être aimé. Évidemment qu’il était beau, c’était son bébé. Sa mère en était gaga aussi. Mais attention, avec un molosse pareil, il fallait vite instaurer des règles, sinon ça pouvait mal finir. D’ailleurs, Tate prenait des cours de dressage. Ce genre de chien avait beaucoup de force dans la mâchoire, il fallait leur apprendre jeune à ne pas mordiller. Et puis, c’était la première fois que le brun avait un chien donc il ne pouvait pas se risquer à l’élever n’importe comment. Encore, prendre un chien dit dangereux lorsqu’on est habitué à avoir des animaux, ça peut le faire, mais quand on n’a aucune base ou aucune expérience, autant ne pas tenter le diable comme on dit. Le jeune chien resta assis un moment à observer l’inconnu avant de se coucher aux pieds de Tate, sous l’ombre de la table. L’étudiant avait un peu de peine de le voir muselé, mais bon, risquer une amende ou l’euthanasie de l’animal à cause d’une muselière, ça ne valait pas le coup. Il allait répondre à la question de son père quand le serveur arriva. Pour lui, c’était mocaccino avec beaucoup de crème et comme son père, un fondant au chocolat. Ouais ce n’était pas équilibré du tout. Mais tant pis, les trucs gras ou sucrés, c’était son point faible !

« Ça va et les cours aussi. Le niveau université c’est pas du tout pareil qu’au lycée, mais je vais gérer… je me suis trouvé un tuteur plutôt mignon et major de sa promo, donc y a pas de raison que ça n’aille pas. » Il haussa les épaules, sûr de lui. Après tout, la philo c’était son truc et il était bon élève. Papa étant connu et maman étant ni plus ni moins que la directrice d’un grand musée, il avait toujours eu la pression : pas question d’être le naze de la famille. « Et toi ? Ça va ? Le boulot ? Et… » Et en amour. Il ne termina pas sa phrase. C’était surement con comme question. Il se rattrapa donc aux branches. « …et les paparazzis ? » Nulle comme façon de se rattraper. Mais en même temps, il était du genre honnête et spontané donc c’était plus fort que lui. Sauf que même si ça lui brûlait les lèvres, il était encore trop tôt pour lui demander s’il voyait quelqu’un d’autre ou pire, pour s’en mêler. Sa mère n’avait encore de nouveau mec… si elle avait eu des rencards, il n’était pas au courant. De toute façon, elle n’avait pas de compte à lui rendre sur sa vie amoureuse ou sexuelle… Et moins il en savait sur sa vie sexuelle, mieux il se portait. Enfin bref, le serveur arriva enfin avec leur commande. Han, ça sentait tellement bon. De quoi redonner le sourire à n’importe qui. En tout cas, Tate était souriant lui.

CODES BY MAY ET AVATARS BY BALACLAVA & L.MACTANS
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous

the smell of coffee (hartwell père & fils) Empty
#MessageSujet: Re: the smell of coffee (hartwell père & fils)   the smell of coffee (hartwell père & fils) EmptyLun 10 Avr - 14:35

Weston écoutait son fils d'une oreille discrète, tout en gardant un œil sur le chien. Il essayait de calmer sa peur en disant que le chien était solidement attaché et qu'il ne pourrait rien lui faire. Du moins, c'est ce qu'il essayait de se persuader même s'il ne pouvait pas s'empêcher de ressentir un peu de crainte. L'animal le regarda, penchant la tête sur le côté, comme s'il se demandait pourquoi cet humain passait son temps à le fixer du regard. Wes se concentra à nouveau sur les paroles de son fils quand ce dernier dit qu'il avait trouvé un tuteur. "C'est bien ça !" dit-il avec un petit sourire. "Avec la fac, on peut vite être largué, donc c'est chouette que vous ayez quelqu'un sur qui vous reposer si jamais vous avez des soucis, profites-en, je n'avais pas ça à mon époque." Quand il disait ça, il se sentait vieux. Très vieux. Les années de la fac étaient loin derrière lui et pourtant, il avait l'impression que c'était hier. Le temps filait si vite et les choses évoluaient tellement rapidement qu'il avait le sentiment d'être totalement largué, qu'il avait un (voir dix) train de retard. "Sinon, c'est bientôt les partiels non ? Je suis un peu perdu dans les dates..." reprit-il "Tu te sens prêts ? Tu as bien appris tes cours ? Tu n'es pas trop stressé ? Si c'est le cas, il faut bien inspirer et expirer." Tel un papa poule, il essayait de donner de bons conseils à son fils pour que tout se passe au mieux pour ses examens, sans se douter qu'il puisse être un peu trop étouffant.

Quand Tate demanda à son tour, si le boulot ça allait, Weston hocha la tête avant de dire joyeusement "Oui ça va ! Je tourne dans un film à petit budget en ce moment "Une nuit de trop à Bangkok". Le réalisateur est vraiment motivé et espère être nominé à Cannes avec ce film... C'est un peu utopiste, mais pourquoi pas." Il haussa les épaules, il n'y croyait pas vraiment à vrai dire. Même si le scénario de base était assez original, mais pas assez pour obtenir une palme d'or. Quand on le comparait à la liste des précédents nominés, le niveau était très différents. Mais Weston préférait quand même rester optimiste et se dire qu'avec un peu de chance, le film serait nommé. "Si jamais je dois me rendre à Cannes pour la promo du film, tu pourras venir avec moi si tu veux." reprit-il toujours en souriant. "Sinon avec les paparazzis... Ça va. Cela fait depuis un moment qu'ils ne s'intéressent plus à ton vieux père tu sais... Ils préfèrent les petits jeunes qui font le buzz maintenant, comme Miley Cyjesaispasquoi." Enfin, le serveur arriva avec les commandes, l'odeur du fondant au chocolat lui mettant déjà l'eau à la bouche. Il avait hâte de le déguster. "Si tu veux un morceau, n'hésites pas !" dit-il en poussant la pâtisserie vers son fils avant d'en prendre une cuillère.

@Tate Hartwell
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous

the smell of coffee (hartwell père & fils) Empty
#MessageSujet: Re: the smell of coffee (hartwell père & fils)   the smell of coffee (hartwell père & fils) EmptyMar 11 Avr - 17:24

Tate Hartwell a écrit:


the smell of coffee

weston & tate
Wow. Son père le prenait pour un bébé ou quoi ? Sérieusement, le brun n’était pas du genre à stresser. Enfin, pas au lycée. Certes, il se mettait la pression. Il voulait réussir. Son nom de famille l’obligeait à être au top. Mais il avait tendance à se surestimer donc pour le moment, il évitait assez bien le stresse. Disons qu’il était assez studieux pour avoir foi en ses capacités. Les examens allaient tomber en mai. Il avait plutôt géré le premier semestre alors il n’y avait pas de raison qu’il échoue au second. Tate n’était pas du genre à s’étouffer avec sa modestie. « Hé, t’inquiète, je gère, dit-il aussi rassurant que possible. J’ai eu la mention bien au premier semestre… j’aurais la mention très bien cette fois. » Il rit un peu. Quand on voyait Tate en soirée ou passer son temps au bar, on pouvait se demander comment il arrivait à s’en sortir en cours. Le truc était qu’il bossait en journée et pendant le repas du midi. Et à l’approche des partiels il sacrifiait quelques soirées et sorties pour bosser. Et puis, mordu de philosophie, il lisait beaucoup et pour le plaisir, chose qui renforçait ses connaissances… Mais bon, dans les faits, il aimait se donner le genre du mec fêtard qui s’en branlait des examens… Aussi étonnant que ça puisse paraître, on pouvait être fêtard et studieux, ce n’était pas incompatible. Il écouta les paroles de son père. Le titre de ce film sonnait un peu comme un porno, non ? Avec des travelos asiatiques… ou alors il devait songer à passer un peu moins de temps sur internet…

Il hocha la tête pour acquiescer l’invitation à Cannes. Il devait y avoir des soirées d’enfer là-bas… « Cannes, ça me va ! Tu feras le buzz si tu te balances à poil sur une boule de démolition… mais je suis pas prêt à voir ça je crois. » Il pouffa un peu. Il n’avait même pas envie d’imaginer. Son père était surement canon en tant qu’acteur mais c’était son père. Il détestait quand les filles qui connaissaient un peu la filmographie de son père s’extasiaient sur ce dernier… Regarder des vidéos de FILF ça ne le gênait pas… tant que c’était pas son daron à lui… Quoi qu’il en soit, leur commande arriva. Wow, c’était trop beau. Ils avaient vraiment mis la dose de crème comme le brun l’avait demandé. Son père lui proposa un peu de son gâteau, cool. Tate attrapa sa cuillère et un peu de crème pour en poser sur le fondant au chocolat. « Manque plus que des rondelles de banane, de la glace à la vanille, des noix en tous genres pour que ce soit parfait. » S’extasia-t-il. La gourmandise était un vilain défaut que Tate essaya parfois de combattre, mais souvent, il était trop faible. Il attrapa donc un peu de gâteau avec cuillère et en savoura le goût. Et le chien semblait apprécier l’odeur. Il se leva pour renifler en l’air en direction de la taille. « C’est pas pour toi mon pauvre Nietzsche, le chocolat c’est du poison pour les petits chiens innocents comme toi. » Il caressa la tête de l’animal. De toute façon, avec sa muselière, il ne pouvait ni manger, ni boire. Heureusement, il l’avait fait boire avant d’arriver. « Il parle de quoi ton film au fait ? Les trucs qui vont à Cannes, c’est pas facile de les juger au nom… C’est pas comme les conneries du type Jurassic World ou Avengers… » Le brun détestait ce genre de films… il avait en avait marre de voir toujours les mêmes merdes que ces potes voulaient regarder… Lorsqu’il allait, c’était avec assez de bouffe pour tenir durant tout le film…

CODES BY MAY ET AVATARS BY BALACLAVA & L.MACTANS
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous

the smell of coffee (hartwell père & fils) Empty
#MessageSujet: Re: the smell of coffee (hartwell père & fils)   the smell of coffee (hartwell père & fils) EmptyMer 12 Avr - 23:43

Weston se sentit un peu rassuré quand son fils dit qu'il gérait et qu'il pensait décrocher la mention très bien. Il savait que son fils aimait faire la fête, et il ne voyait aucun inconvenant à ça, tant que ça, tant que ça restait raisonnable. Il était jeune, il avait raison d'en profiter ! Mais Wes craignait que cela se répercute sur ses études. Enfin, si Tate lui assurait que non, il n'avait aucune raison d'en douter. "Tu ne pourras pas empêcher ton vieux père de s’inquiéter pour toi. Et dis-toi que quand tu auras cinquante ans, ce sera toujours la même chose." dit-il en souriant doucement. Il savait qu'il n'avait pas forcément été le père le plus présent au monde, ce n'était pas facile de concilier son métier et la vie de famille, mais il ne passait pas un jour sans qu'il pense à son fils en se demandant si tout se passait bien pour lui. C'était ça d'être parents... Ou alors peut-être que c'était lui qui se faisait toujours trop de soucis. "En tout cas, bravo pour ta mention. Et je suis sur que tu feras mieux au prochain semestre. Je suis vraiment fier de toi."

La blague de Tate déclencha l'hilarité de son père, se demandant où il allait chercher ce genre d'idées. Il secoua négativement la tête avant de dire "Je pourrais essayer mais pas sur que ce soit du bon buzz. Malheureusement, je n'ai pas de jolie poitrine et ça pourrait traumatiser trop de gens. Imagine si ta grand-mère voit ça, elle ferait une crise cardiaque sur le champ." Il ria à nouveau, s'imaginant la scène. C'était tellement irréaliste, mais surtout ridicule. Weston prit une gorgée de son café avant de goûter le fondant. C'était délicieux ! Un vrai plaisir gustatif. Toutefois, ce n'était pas le meilleur qu'il avait goûter, il connaissant bien mieux, comme les pâtisseries de Callum par exemple. D'ailleurs, maintenant qu'il y pensait, il devait en parler à Tate. "Je connais une personne qui a ouvert une pâtisserie. C'est vraiment un régal et je pense, sans aucun doute, que c'est le meilleur de L.A. Il faudra que je t'y emmène pour que tu donnes ton avis, mais il mérite vraiment d'être plus connu." dit-il avec un petit sourire avant de reprendre "En plus c'est un jeune homme vraiment sympathique !". Weston regarda Tate parler avec son chien avec un sourire attendrit, c'était marrant de voir comment il se comportait avec lui, comme si c'était un enfant. Enfin, pour certains, les animaux étaient comme un membre à part entière de la famille, il n'était donc pas étonné que ça puisse rendre gage. "Tu l'as depuis quand exactement ?" demanda-t-il curieux.

Tate lui demanda de quoi parlait le film pour lequel il tournait actuellement et Weston sourit, heureux de savoir que son fils s'intéressait un peu à lui et à son travail. "Non, ne t'en fais pas, ça n'a rien à voir avec tout ça. C'est un film avec un petit budget, plus quelque chose d'indépendant. Ça parle d'un homme qui a une vie parfaite, une belle et grande famille, un boulot de rêve et qui va à Bangkok pour son taff. Seulement, il rate son avion de retour et doit rester une nuit de plus à Bangkok. Il va donc en profiter pour découvrir un peu la ville, il va faire des rencontres, il va lui arriver des aventures... Je ne suis pas la meilleure personne pour faire la promotion des films, à chaque fois mon agent s'arrache les cheveux" dit-il en riant. Il fallait aussi dire que le film ne cassait pas trois pattes à un canard, malgré ce qu'en disait le réalisateur, mais qu'à partir d'un moment, il devait arrêter de refuser les rôles qu'on lui proposait s'il voulait payer ses factures. "Mais ne t'en fais pas, ce n'est pas un truc débile comme The Hangover" reprit-il pour essayer de donner une meilleure image du film.

@Tate Hartwell
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous

the smell of coffee (hartwell père & fils) Empty
#MessageSujet: Re: the smell of coffee (hartwell père & fils)   the smell of coffee (hartwell père & fils) EmptyDim 16 Avr - 16:42



the smell of coffee

weston & tate
Non, il ne pourrait jamais empêcher son père de s’inquiéter pour lui. Idem pour sa mère. C’était le lourd fardeau d’être parent. Et un jour, ce serait à lui de s’inquiéter pour eux. Ceci dit, il pouvait arriver n’importe quoi, n’importe quand. La vie ne fait pas de cadeau. C’était pour ça le brun aimait vivre selon les principes de la philosophie stoïcienne. Être le moins malheureux possible pour être le plus heureux possible. Profiter de chaque instant. Là où il dépassait parfois les limites de cette philosophie, c’était qu’il lui arrivait parfois d’être dans l’excès. Il avait beaucoup de défauts et en avait conscience. Mais bon, on ne pouvait pas être parfait. Même si, souvent, il avait ce petit côté prétentieux qui faisait qu’il avait l’impression de l’être, parfait. En tout cas, il accepta les félicitations de son père avec grand plaisir. De quoi gonfler son ego. Il en fallait peu à Tate pour le gonfler celui-là. Mais en fait, c’était une bonne chose, non ? Difficile de se la péter avec des notes comme C ou D… alors ouais, ce besoin de se mettre en avant le forçait à travailler en cours pour qu’il puisse se pavaner avec des A et des mentions. Quoi qu’il en soit, il rit à la remarque sur sa grand-mère. En effet, la pauvre ne saurait le supporter. Il n’avait pas envie d’enterrer sa grand-mère si tôt. Il aimait sa famille… Même son grand-père paternel qui avait été un peu con lorsqu’il avait fait son coming out…

« Rien que le mot pâtisserie ça ne me suffit à bien vouloir faire le déplacement. » Affirma-t-il convaincu par ses propres paroles. En même temps, comment dire non à des pâtisseries sucrées et toutes douces ? « Si le pâtissier est aussi charmant que ses pâtisseries, je dis pas non. » Il plaisantait. Ceci dit, se marier avec un pâtissier ou un cuisinier, c’était le bon plan. Mais l’étudiant ne pensait pas encore au mariage. « On a été le chercher y a… un peu moins de cinq mois... » ouais c’était récent… Comme le divorce de ses parents. L’étudiant se risqua à boire son mocaccino encore trop chaud pendant que son père résumait l’histoire du film dans lequel il jouait. Dis comme ça, ça semblait assez banal. Mais comme son père le disait lui-même, il n’était pas doué pour vendre les films. Il rit un peu à cette remarque d’ailleurs. Quant à The Hangover, c’était exactement le genre de film qu’il n’aimait pas… Et pourtant, il aurait dû se reconnaître dedans. Parce que bon sang, ça lui arrivait de se réveiller sans ce souvenir de la veille, dans le lit d’un inconnu ou dans la baignoire d’un pote. « Je crois que le mieux ce sera que je le vois par moi-même, dit-il un peu taquin. Mais bon, pour faire plus débile que Hangover, faut être motivé et ne pas viser Cannes. Enfin, je suis pas un expert en cinéma, mais si un film de ce genre gagne des récompenses, c’est que le niveau du cinéma n’est pas élevé, non ? » C’était une vraie question. Parce que ouais, il était peut-être fils d’acteurs, mais il avait depuis longtemps laissé de côté ses ambitions devenir acteur comme son père et le cinéma, il n'y connaissait pas grand chose dans le fond.

CODES BY MAY ET AVATARS BY BALACLAVA & L.MACTANS
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous

the smell of coffee (hartwell père & fils) Empty
#MessageSujet: Re: the smell of coffee (hartwell père & fils)   the smell of coffee (hartwell père & fils) EmptyJeu 20 Avr - 11:59

Weston sourit doucement, n'étant pas étonné par la réponse de son fils, le mot pâtisserie avait un effet suricate sur Tate. Au moins, cela prouvait qu'il était bien le fils de son père étant donné qu'ils partageaient le même amour pour les pâtisseries. "Tu n'auras qu'à me dire quand tu es disponible et on ira ensemble alors !" dit-il avant un sourire avant de prendre une gorgée de son café. Il sourit doucement à la remarque de son fils quant au pâtissier. Il savait que son fils n'était pas le genre de personnes à se caser, il n'allait pas lui faire de réflexions pour ça, Tate était libre d'agir comme il le voulait, mais parler de ça avec lui le mettait un peu mal à l'aise. "Callum est vraiment un jeune homme très sympa et charmant. Je suis sur que vous pourrez vous entendre" dit-il doucement. Weston tenait vraiment à ce que Tate et Callum se rencontrent et que le courant passe entre eux. De plus, il espérait un peu que le caractère calme de Callum calme un peu les folies festives de son fils. Il ne voulait pas jouer les rabats-joies et laissait son fils vivre sa vie, mais par moment, il ne pouvait pas s'empêcher de s'inquiéter pour lui. Il craignait que ce rythme de vie soit dangereux pour lui.

La conversation se reporta sur le chien et quand Tate lui dit qu'il l'avait depuis à peu près cinq mois, il ne lui fallut pas longtemps pour faire le calcul dans sa tête. Cela correspondait plus ou moins avec la date de son divorce avec April. "Hmmm, je vois." dit-il, sans savoir quoi rajouter, plutôt mal à l'aise. Il ne pouvait pas s'empêcher de se sentir un peu blessé, même s'il ne lui en voulait pas. Il le comprenait totalement. Il se souvenait que Tate lui demandais souvent d'avoir un chien quand il était petit. Maintenant qu'il n'était plus à la maison, il en profitait. "C'est un très beau cadeau en tout cas..."

Weston écoutait son fils, tout en dégustant son fondant, il sourit doucement quand Tate lui dit qu'il ne restait plus qu'à voir le film. "Oui, tu as raison, ça sera surement mieux. Tu pourras te faire une meilleure idée que ce que je viens de te décrire. Et puis,
je pourrais t'avoir une place pour l'avant-première si tu veux.
" Il espérait vraiment que Tate apprécie le film, il voulait qu'il soit fier de lui aussi... Ou du moins qu'il n'ai pas trop honte de son père. "C'est vrai qu'il est difficile de faire plus débile que The Hangover." reprit-il "Mais il ne me semble pas que les réalisateurs de ce genre de film veulent gagner des récompenses, mais plus ce faire de l'argent...." L'un des côtés du cinéma qu'il détestait, l'envie de gloire et d'argents... Mais d'un certain côté, il se disait que comme pour toute les professions ou presque, il y avait des gens qui ne le faisait que pour l'argent.

@Tate Hartwell
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous

the smell of coffee (hartwell père & fils) Empty
#MessageSujet: Re: the smell of coffee (hartwell père & fils)   the smell of coffee (hartwell père & fils) EmptyJeu 20 Avr - 18:49



the smell of coffee

weston & tate
L’étudiant acquiesça. Il était toujours plus ou moins disponible pour des pâtisseries. Pour ça ou pour soirée arrosées, des plans culs, des sorties en tous genres. Tate était un bon vivant qui ne comprenait pas les gens qui passaient leur temps de la télévision ou devant un écran pc. Il ne jugeait pas, il n’était personne pour affirmer qu’un mode de vie était mieux ou plus sain qu’un autre. Mais de son point de vue, il n’arrivait à apprécier l’idée de se retrouver enfermé trop longtemps entre quatre murs. En période d’examen, il était bien obligé de prendre sur lui et de passer son temps à s’assurer qu’il était parfaitement prêt pour réussir. Mais il avait hâte d’en finir. Certains de ses potes ne changeaient rien à leur mode de vie, préférant le plaisir aux études. C’était con : bosser correctement pendant un bon mois c’était quand même moins coûteux que de se retrouver à être en vacances après tout le monde à cause des rattrapages. En tout cas, Tate avait trop d’amour-propre pour aller aux rattrapages et trop d’amour pour les vacances et la fête pour en perdre bêtement. Et puis, de cette façon, il s’imaginait plus ou moins que ses parents ne se doutaient de rien ou de peu en ce qui concernait sa vie « secrète » de fêtard souvent trop ivre pour savoir avec qui avait couché la veille. Il rit à la remarque de son père au sujet du dénommé Callum. « Un prétendant validé par mon père, à quand le mariage ? » Qu’il lâcha avec humour. Il n’avait que dix-neuf ans et pour le moment, c’était mort pour le mariage. Il n’était pas assez croyant pour vouloir se marier le plus tôt possible afin de pouvoir enfin tremper son biscuit. De toute façon, il avait déjà péché… bien des fois.

Quoi qu’il en soit, Tate afficha un air désolé au sujet du moment depuis lequel il avait le chien. De toute façon, c’était entendu que lorsqu'il vivrait seul, il adopterait un chien. Bon, pour le coup, sa mère lui avait proposé d’en prendre un lorsque son père n’était plus là pour refusé. L’étudiant n’allait pas refuser. « Il est bien éduqué en plus. Je sais pourquoi tu voulais pas avoir de chien, mais il est sage, il dort dans son panier, il monte pas sur le canapé et il a jamais fait de bêtise. » Dit-il fièrement. Preuve qu’avoir ce genre de grosse bête ce n'était pas forcément annonciateur de catastrophe. « Va pour l’avant-première, qu’il répondit gentiment. J’écouterais les commentaires des critiques en furtif pour t’en faire un résumé. » Il plaisantait mais se doutait qu’aux avant-premières, on croisait surtout des critiques, des fans de cinéma et ce genre de personnalité. Lui, il n’aimait pas spécialement ça, le septième art. C’était pourtant un domaine étudié en philosophie ou du moins, un domaine qui pouvait illustrer des thèmes philosophiques. Il se souvenait qu’il avait vu le Rocky Horror Show en cours de philo au lycée et ça lui avait plu. « Au moment où l'artiste pense à l'argent, il perd le sentiment du beau, comme l’écrivait monsieur Diderot. » Dit-il savamment avant de reprendre. « Tous les blockbusters sont faits pour l’argent. Quand on se préoccupe de plaire au maximum de gens, c’est normal de faire de la merde puisqu’on ne se démarque pas dans thème particulier… Ceci dit, j’ai cru comprendre que suicide Squad avait gagné l’Oscar des meilleurs maquillages… soit le Jury était ivre mort au moment des délibérations, soit le cinéma c’est vraiment pas mon truc. » Il haussa un sourcil. Suicide Squad… Il avait vu cette merde -selon sa propre appréciation- avec un rancard… qu’est-ce qu’il n’était pas prêt à faire pour un plan cul… Il fallait peut-être qu’il s’impose des limites non ? Heureusement, Will Smith était assez canon et intemporel pour occuper son esprit le temps qu’il était à l’écran… c’est à 75% du temps… Les autres personnages se partageaient les 25% restant.

CODES BY MAY ET AVATARS BY BALACLAVA & L.MACTANS
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous

the smell of coffee (hartwell père & fils) Empty
#MessageSujet: Re: the smell of coffee (hartwell père & fils)   the smell of coffee (hartwell père & fils) EmptyLun 1 Mai - 17:31

Quand Tate demanda si Callum était un prétendant validé, Weston haussa les épaules avant de répondre avec un petit sourire en coin, tout en restant mystérieux "Peut-être". Il ne voulait pas interférer dans la vie amoureuse de son fils, mais il devait avouer que ça ne lui déplairait pas d'avoir Callum comme gendre. Après tout, il s'entendait bien avec lui, il savait que c'était une personne de confiance, généreuse, qui ne ferait pas de mal à une mouche. Après, jusque là, il n'avait jamais rencontré aucun des petits-amis de son fils, peut-être qu'ils avaient été des personnes très biens aussi, il ne serait le dire. D'un certain côté, il ne l'avait jamais vraiment questionné à ce sujet, et vu qu'en ce moment, il essayait de rattraper le temps perdu, il était peut-être temps de s'y intéresser. "Tu vois quelqu'un en ce moment ?" demanda-t-il curieux. Après, il savait bien que s'il voulait pousser la curiosité jusqu'au bout, il pouvait toujours aller lire les publications de la bitchcation, mais il détestait cette application et de toute manière, il faisait amplement confiance à Tate pour que ce dernier ne lui mente pas.

Weston écouta Tate parler de son chien, tout en hochant la tête. Ça se voyait dans son regard qu'il l'aimait sa bête. Il n'avait jamais eu d'animaux, mais il avait toujours entendu dire qu'en avoir un, c'était comme avoir un nouveau membre dans sa famille. Quand son fils lui dit qu'il ne savait pas pourquoi il n'avait jamais voulu avoir de chien, Weston se massa la nuque, un peu gêné. "A vrai dire, j'ai une peur bleue des chiens... Depuis que je suis tout petit. Dès qu'il y en a un qui m'approche, je deviens une vraie statue." Weston jeta un regard à Nietzsche qui était allongé au pied de son maître. Pour l'instant, il ne bougeait pas et c'était surement pour le mieux. Il rit doucement à la blague de son fils. "Je compte sur toi pour me faire un rapport détaillé alors !" Il essayait de prendre ça avec humour, mais dans le fond il angoissait un peu. Il aurait bien aimé être ce genre de personne à ne pas se soucier des critiques, mais le soucis c'est qu'il les prenait trop à cœur, c'était plus fort que lui. Il écouta Tate lui citer une phrase de Diderot, plutôt impressionné, ce n'est pas lui qui aurait fait une telle chose. La seule citation qu'il connaissait et dont il pouvait restituer l'auteur était "Je pense donc je suis" de Descartes. Après, la philosophie n'était jamais une matière qui l'avait passionné. Tate tenait plus ce côté de sa mère. "C'est joliment dit" ajouta-t-il avec un petit sourire. "Après, je ne pense pas... Ou plutôt j'ose espérer que les blockbusters soient fait uniquement pour l'argent, mais aussi pour le plaisir. Je suis peut-être un peu trop utopiste..."

@Tate Hartwell
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

the smell of coffee (hartwell père & fils) Empty
#MessageSujet: Re: the smell of coffee (hartwell père & fils)   the smell of coffee (hartwell père & fils) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
the smell of coffee (hartwell père & fils)
Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Los Angeles Times :: RP-
Sauter vers: