Quiero desnudarte a besos despacito

Hazel & Milo

Quiero desnudarte a besos despacito

Cela faisait déjà une semaine que le couple se trouvait à Hawaï. Une semaine à jouer les couples mariés où Milo oubliait presque la réalité des choses. Il se laissait surprendre par le bonheur qui était le sien de s’endormir et de se réveiller auprès de sa jeune amante. Hazel était tout ce qu’il pouvait rêvé dans une vie à deux. A la fois drôle, intelligente, désireuse d’apprendre de nouvelles choses, curieuse, coquine mais aussi simplement adepte des choses simples de la vie. Il appréciait vraiment leurs vacances et se demandait pourquoi il avait autant tardé à l’emmener en voyage. Fidèle à sa promesse, elle l’avait laissé travaillé mais aussi étonnant que cela puisse être, c’était bien souvent lui qui craquait en premier trop désireux de passer plus de temps avec la jeune femme. Là, il se trouvait sur une petite île privée accessible qu’en hélicoptère. Pour une fois que son brevet de pilotage servait pour une cause somme toute personnelle, il n’allait pas les priver de ce petit plaisir surtout que la voir barboter dans l’eau clair de l’océan avait quelque chose de reposant et de plaisant. Lui, était allongé sur le dos, appuyé sur ses avant-bras. Puis, au bout d’un moment, il se releva pour mieux s’approcher du bord de l’eau où les vagues mourantes venaient lui lécher les pieds. « L’eau est bonne ? » lui demande-t-il alors qu’il avait les mains dans les poches de son bermuda de plage, seule pièce de vêtement qu’il portait.

AVENGEDINCHAINS

Une semaine de pur bonheur. Une semaine à roucouler avec Milo. Et encore une semaine de plus. La blonde avait tenu sa promesse de le laisser travailler et de s'occuper de son côté le temps qu'ils fasse ce qu'il avait à faire. Mais la plupart du temps, Milo mettait ses plans à l'eau en revenant plus tôt. Ce n'était pas pour déplaire à la jeune femme bien évidemment. Et chaque fois, elle s'était précipitée vers lui en courant, profitant de son amant. Hazel, bien malgré elle, se rendait compte que son amour pour Milo se renforçait, prenait de l'ampleur. Elle savait que ça ne ferait qu'amplifier la douleur quant à leur prochaine séparation. Le mois était écoulé et Hazel n'avait pas mit sa menace à exécution. Pour la simple et bonne raison qu'elle n'y arrivait pas. Chaque fois qu'elle voulait lui en parler, le fait de voir son visage l'empêchait de le faire. Soupirant doucement, la belle blonde observait le ciel alors qu'elle profitait de l'eau azur de cette plage privée où Milo l'avait emmené. Vêtue simplement du bas de son maillot de bain, la blonde nageait tranquillement alors que son amant se reposait sur la plage. Il avait vraiment tout pour lui plaire. Il était beau, intelligent riche et savait presque tout faire. Sa voix parvint aux oreilles de Hazel qui se tourna vers lui, de l'eau jusqu'à la base du cou. Un sourire se dessina sur ses lèvres. « Bah entre, tu verras bien !! Mais moi j'apprécie en tout cas !! » La blonde s'avança un peu, dévoilant peu à peu son corps avant de rejoindre Milo, venant déposer un baiser sur ses lèvres. « C'est paradisiaque... J'adore... Merci de m'avoir emmené... » Elle l'entoura de ses bras pour le serrer tendrement contre elle, observant l'horizon.

Hazel & Milo

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Cette semaine de vacances était providentielle tant il avait l’impression de sentir le fardeau de ses épaules, s’alléger. Hazel avait ce pouvoir de rendre son existence moins solitaire, moins terne. Auprès d’elle, il revivait une seconde jeunesse. Cette femme, il l’aimait mais il refusait encore de se livrer complètement. Comment pourrait-il prendre le risque de ruiner la vie de sa jeune maitresse ? Il portait la poisse : tous ceux qui avaient le malheur de l’aimer et d’être aimé de lui en retour, finissaient par mourir. Sa mère, son père, Gwen… Combien de victimes lui faudrait-il pour qu’il ouvre les yeux ? Un psy parlerait de concours de circonstances mais voilà, quand il posait son regard sur sa belle naiade, lui, il voyait surtout tout ce qu’il avait à perdre. La perte d’Hazel serait insurmontable mais pouvait-il vivre encore des années dans le mensonge ? Lui qui détestait par-dessus tout ce genre de choses ? La réponse était non. Il chassa bien vite ses sombres pensées pour se comporter comme un mari, un amant attentionné envers sa jeune compagne. « Je vois ça, tu ne décolles pas depuis tout à l’heure » dit-il avec un sourire tendre tandis qu’il remontait ses lunettes de soleil au-dessus de sa tête pour mieux l’accueillir entre ses bras. « Tu rends cet endroit paradisiaque… Je suis heureux que tu sois venue avec moi, j’apprécie vraiment ses vacances surtout quand je te vois dans cette tenue » dit-il alors que ses doigts jouaient déjà avec le bas de son maillot de bain. Ils étaient seuls, il pouvait bien profiter du spectacle de nudité n’est-ce pas ? « Au fait, nous sommes invités au restaurant ce soir par un confrère, est-ce que tu as envie de m’accompagner ? »

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La jeune maîtresse se demandait si Milo comptait changer leur relation. Peut être pas. Pourquoi au bout d'un an d'adultère, il changerait quoi que ce soit ? Il avait tellement l'air de se complaire dans sa situation actuelle, dans sa double vie. Mais Hazel savait pertinemment qu'elle, elle ne laisserait pas cette situation perdurer. Pour le moment, elle ne disait rien parce qu'elle ne voulait rien gâcher mais bientôt, elle devrait agir, mettre les choses à plat. Enfin, elle l'avait fait il y a peu de temps en lui posant un ultimatum qui n'avait absolument rien changé entre eux. Rien que cette pensée faisait soupirer la demoiselle. Actuellement, elle profitait de leur vacances et ne voulait pas instaurer une mauvaise ambiance. Surtout que la vue de Milo torse nu la rendait totalement faible et dévouée. « Il faut bien que je profite !! Ce n'est pas tous les jours qu'on se retrouve à Hawaii ! » Sourit-elle tendrement en l'observant alors qu'elle venait contre lui. Sacré Milo. Hazel se mit à rire doucement. Milo avait toujours admiré son corps sans la moindre retenue. Et c'est ce qu'elle aimait chez lui, qu'il ne se détourne pas en la regardant. La jeune femme souhaitait surtout que ce regard ne se perde jamais sur une autre. Même si elle savait parfaitement qu'il n'était pas heureux en ménage, rien ne garantissait à Hazel qu'elle l'aurait à elle toute seule un jour. La jeune femme se serra contre lui en admirant la vue, souriant doucement. « Tu les apprécierais moins si j'étais habillée ? » Se moqua t-elle de lui sans retenue. Elle aimait le taquiner. Mais voilà qu'il parlait d'un dîner d'affaire désormais. Enfin, pas vraiment. Mais s'il y avait un collègue de Milo, ils allaient parler travail et Hazel s'en foutait un peu. Elle se retint de soupirer et de rouler des yeux en marmonnant que ça l'emmerdait, préférant sourire doucement et hocher la tête. Elle voulait lui faire plaisir et non se disputer avec lui. « Oui, pourquoi pas. J'aime bien aller au restaurant !! » Hazel s'écarta de lui, lui prenant la main pour aller dans l'eau. Au diable son travail, elle voulait profiter de lui maintenant. Elle lui lâcha la main pour l'arroser. « Aller, on s'en fout de ton boulot, de tes collègues. Profite un peu !! Le riches ne savent pas profiter ! » Du moins, de son point de vue. Milo n'avais jamais l'air complètement heureux et Hazel voulait que ça change. Quand il était avec elle, elle voulait le voir sourire, être heureux. Qu'avec elle, il ne pense à rien d'autre qu'à son bonheur.

Hazel & Milo

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Milo se croyait au paradis : pas de femme à l’horizon et une liberté totale avec Hazel comme si rien ne pouvait leur arriver dans un tel décor. C’était comme s’il retrouvait une seconde jeunesse, un second souffle à sa vie qu’il croyait terminée depuis des années. La mort de Gwen avait marqué son cœur et s’il avait pensé que l’amour, jamais plus ne se représenterait à lui, il s’était trompé. Maintenant, était-ce une bonne ou une mauvaise chose ? Son cerveau, visiblement, ne prenait jamais de vacances mais une nouvelle fois son cœur chassa ses pensées parasites pour mieux savourer le moment présent en compagnie de sa sublime maitresse. « Non il est vrai » rigole-t-il. « On a beau habiter une ville où le soleil est souvent à son zénith, Hawaï est magnifique » avouait-il dans un léger hochement de tête tandis qu’elle venait se blottir contre lui, sa poitrine venant s’écraser contre son torse musclé. « Tu as une nouvelle fois raison, je dois le reconnaitre. Tu sais quoi ? Je commence à apprécier ce fait » rigole-t-il un peu plus franchement. Milo n’était pas un homme qui riait facilement mais Hazel arrivait toujours à lui arracher des sourires ou même des rires. Là, en vacances, il se montrait bien plus détendu qu’à l’ordinaire, peut-être tout simplement parce qu’il n’avait pas à regarder par-dessus son épaule. « Au diable le travail si tu me promets d’être sage durant le repas » négocia-t-il en la suivant dans l’eau pour mieux l’enlacer quand elle commença à ne plus avoir pied. Dans un tel moment, un je t’aime aurait été parfait n’est-ce pas ? Et croyez-le, Milo du se retenir à la dernière seconde pour ne pas se lancer dans une telle déclaration qui ne ferait qu’attiser toutes les convoitisent de la jeune femme. « Dis moi, comment suis-je censé profiter donc ? Apprends-moi » exigeait-il en plongeant son regard dans le sien avant de déposer un léger baiser sur le bout de son nez alors que leurs corps étaient bercés par les mouvements de la mer.

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Ce n'était pas tous les jours qu'on se retrouvait dans l'eau chaud et transparente, turquoise. Hazel était sûrement dans un rêve. Mais c'était un merveilleux rêve dans lequel Milo lui appartenait. Là, pas de méchante femme qui risquait de mettre en péril leur relation. C'était bien particulier de se dire que c'était la femme de Milo qui dérangeait. Mais c'est elle qui dérangeait. Elle avait brisé son ménage toute seule, Hazel n'y était pour rien. Et d'ailleurs, la blonde ne se sentait pas du tout coupable. « Hawaii et Los Angeles sont tout de même très différents ! » Même si Milo avait raison, Los Angeles restait une belle ville, mais Hawaii restait un paradis. La blonde s'était blottie contre lui. Elle éclata de rire. « Tu apprécies le fait que j'ai raison ? Ah, alors tu n'as pas fini avec moi tu sais ! » Oui parce que, selon Hazel, elle avait très souvent -tout le temps- raison. Et elle ne s'en cachait pas. Mais bon, même si parfois elle sait reconnaître qu'elle a tort, elle préfère dire qu'elle a raison. Hazel pouvait être extrêmement têtue quand elle le voulait. « Sage ? Tu veux dire, souriante et un peu potiche à tes côtés ? » Bouda t-elle légèrement. « Ça dépend de ce que tu me promets comme récompense. » Minauda t-elle en tortillant des fesses. Elle se retrouva de nouveau dans ses bras, un sourire sur les lèvres. La jeune femme soupira doucement. Elle glissa sa main sur la nuque de son amant, l'observant. La blonde vint frotter ses lèvres contre les siennes, glissant légèrement sa langue dessus. « Tu n'as qu'à profiter du peu que la vie te donne. Parce que tout ce qui est matériel n'est que futilité... » Et elle savait de quoi elle parlait. Elle était née dans une famille qui ne roulait pas sur l'or et connaissait la valeur des choses. Pour elle, Milo faisait parti des riches que la blonde n'aimait pas parce qu'il ne connaissait pas la valeur des sentiments. Ou peut être que si. Elle ne connaissait que très peu cet homme mais elle n'osait jamais poser des questions trop indiscrètes. Tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle l'aimait plus que tout et qu'elle ne voulait pas le perdre. La blonde se détacha un peu de son amant avant de lui sauter dessus, le coulant. Elle le suivit sous l'eau et lui retira son maillot de bain avant de nager plus loin, remontant à la surface. Elle fila vers la plage et se mit sur le sable, remuant le caleçon de Milo en chantonnant, riant. « Tu as perdu çaaaa !!! »

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« Je ne veux pas que tu joues la potiche de service mais tu es censée être ma femme, une personne influente dans mon quotidien » dit-il en essayant d’être diplomate pour ne pas lui dire : une personne mature qui ne balance pas des sarcasmes ou des conneries à tout bout de champ. Il savait qu’elle était on ne peut plus capable de bien se tenir en société et même d’éblouir son auditoire mais ils se devaient d’être discrets et si on apprenait qu’il était à Hawaï avec une femme qui se comportait étrangement, cela risquait d’être un peu dur à expliquer à Evelyn pourquoi elle a une réputation de sérial loleuse pour prendre un terme totalement inventé. En somme, Milo avait un peu de mal à se lâcher. Cela faisait trop longtemps qu’il n’avait pas agis de manière spontanée ou qu’il ne s’était pas lâché. Le travail avait été depuis de trop nombreuses années, sa raison de vivre, sa seule motivation à se lever le matin. « Une récompense ? Je pensais que cette nuit aurait été suffisante à te motiver » dit-il en arquant un sourcil accompagné d’un sourire entendu. « Humm je te promets une très longue grasse matinée le lendemain et peut-être que si tu es vraiment sage : nous pourrions visiter cet endroit qui te donnait tant envie » ajoute-t-il alors qu’il l’attirait à nouveau entre ses bras pour l’embrasser. Pourtant, Hazel n’avait pas décidé de le laisser savourer leur étreinte très longtemps car elle le surprit en lui appuyant sur ses épaules pour mieux lui faire piquer une tête sous l’eau. Oh il n’était pas au bout de ses surprises car sa jeune amante lui piqua littéralement son short de bain. « Hazel !! » s’écriait-il en rigolant alors qu’elle s’éloignait de lui, fière de son coup. « Je vais finir le chercher et crois-moi, tu vas le regretter » dit-il en nageant à sa rencontre pour mieux terminer les quelques mètres les séparant, dans sa plus virile nudité. « J’hésite entre deux choses : te mettre une fessée déculottée ou te priver de câlin » s’amusait-il à lui dire avec un sourire en coin, se fichant bien d’être nu. La plage était privée !

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Elle n'était ni sa femme ni une personne influente dans son travail. Comment pouvait-elle jouer le rôle d'une personne qu'elle n'était pas ? Encore, le rôle de potiche était bien plus simple à jouer que ce que Milo lui disait se faire. Il s'imaginait quoi ? Qu'elle était née avec l'option actrice professionnelle ou quoi ? Soupirant doucement, Hazel préféra ne rien dire. Elle ferait ce que Milo voudrait. Pour que les choses se passent bien entre eux, elle le ferait. Une moue boudeuse apparue sur le visage de la blonde. « Non, je veux plus que ce qu tu m'as fais cette nuit ! » Plus oui. Hazel voulait toujours plus de Milo. Par moment, quand on les regardait, on aurait dit une femme simplement intéressée par la situation de son amant mais il n'en était rien. Elle ne prenait pas un malin plaisir à lui faire de la peine en le menaçant de le quitter et de tout raconter à sa femme s'il elle ne devenait pas exclusive à sa vie. La blonde dodelina de la tête, pendue au cou de son merveilleux amant. « Une grâce matinée avec des câlins alors. Un petit déjeuner français. Et... Cette endroit que je veux visiter et que tu me refuses depuis le début... » Et là, elle promettait d'être très sage et de jouer son rôle du mieux qu'elle pourrait. La blonde finit par couler son bal amant et lui voler son maillot de bain. L'effet de surprise avait magnifiquement bien marché. La jeune femme était déjà en train de courir sur la plage en remuant le maillot de bain de Milo qui pestait après elle. « Bah alors, qu'est ce que tu attends ?? Viens me punir mon gros nounours !! » Hazel le provoquait et se moquait de lui, remuant les fesses pour l'inciter à venir lui donner la fessée comme il le lui promettait. Chaque fois qu'il approchait, Hazel s'éloignait en agitant le maillot de bain, riant comme une petite fille. Il avait le don pour la faire retourner dans l'adolescence. Et la blonde ne se laissait pas faire. « Alors alors papy, on se ramollit ?? » Plaisanta t-elle en lui montrant le maillot qui était toujours dans sa main.

Hazel & Milo

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Il n’aimait pas l’idée qu’elle joue un rôle pour lui car il savait qu’elle ne serait pas à l’aise et qu’elle se plierai à l’exercice uniquement pour lui faire plaisir. Rien que pour cela, il tombait davantage amoureux si c’était possible. Hazel avait le don pour paraitre à la fois comme son principal danger mais également sa principale source de rédemption. Par moment, il ne savait pas ce que l’avenir lui réservait tant son cœur et sa tête ne semblaient pas se mettre d’accord. Un coup il voulait la quitter, la seconde suivante, il oubliait cette pensée. « Tout ce que tu voudras mon trésor » répondit-il avec un léger sourire au coin de ses lèvres. La suite lui fit boire la tasse mais également rire. Hazel lui avait volé son maillot de bain pour mieux le narguer sur le sable chaud. Celle-là, elle était impayable et il devait se venger. Comment ? Oh il avait bien une idée en tête. « Je savais que tu étais masochiste, fallait me le dire plus tôt… Appelle moi maître » rétorqua-t-il en élevant légèrement la voix pour se faire entendre d’elle mais très vite, il eut envie de la rejoindre physiquement . « Je pensais que c’était tout le contraire justement » dit-il car son corps mis à nu aussi visible ne pouvait dissimuler le début d’érection qui peu à peu éveiller sa virilité. « Donc si je comprends bien mademoiselle veut une fessée… fort bien » reprit-il d’une voix trainante avant de s’élancer vers elle afin de la saisir par la taille, la soulevant du sol. De sa main libre, il tira d’un geste brusque sur le bas de son maillot de bain, dévoilant une paire de fesses des plus attrayantes. « Prête à me supplier ? »

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Milo était si important dans sa vie que Hazel ferait ce qu'il demande, en bronchant bien entendu. Mais elle le ferait. Mais surtout, elle aimerait sincèrement que le jeune homme cesse de la prendre pour une idiote, quitte sa femme et la prenne elle, à sa place. Mais ça, ce n'était pas prêt d'arriver. C'était sûrement pour cette raison que leur relation était si passionnelle et destructrice. La jeune femme se rendait compte que bien des soucis étaient causés à cause de ce qu'ils entretenaient. Mais pour le moment, Hazel voulait profiter de son amoureux à fond. Et ici, personne ne viendrait les enquiquiner. La jeune femme courait, le maillot de Milo dans la main, le provoquant. Le jeune homme ne tarda pas à répliquer alors qu'il s'élança à sa poursuite, la faisant crier et rire en même temps. « Attrape moi si tu veux que je t'appelle maître ! » La jeune femme ne put se retenir de fixer son membre qui commençait à gonfler. Elle haussa les sourcils, se mordant la lèvre. « Ah... Monsieur... Vous avez une façon assez convaincante de ne pas me faire regretter de vous avoir arraché votre maillot... » Rit-elle, aguicheuse. Hazel fut perturbée par le début d'érection de Milo, se faisant alors attraper. Elle éclata de rire avant de hoqueter en sentant le bas de son maillot de bain descendre, dénudant ainsi ses fesses. Elle se débattait légèrement pour essayer de se libérer. « Non, pas encore !! » Souffla t-elle alors que sa main se mit à lui caresser le membre pour le déstabiliser. « Je n'ai pas dis mon dernier mot !! » S'exclama la demoiselle.