So just pull the trigger (Ft. Sameira)

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Sam & James

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a salle de tire, n'était qu'a quelques centaines de mètre du starbucks, dans un endroit un peu plus en retrait des rues commerçantes. Elle était gérée par une boutique de vente d'arme qui était heureusement ouverte malgré l'heure matinale. En revanche, une affiche sur la vitrine indiquait que le stand de tir n'ouvrait que dans une heure. C'était sans doute vrai pour les clients habituels mais je comptais bien sur mon statut pour qu'il puisse faire exception.

Dès que nous entrâmes dans la boutique, je sortis mon badge d'agent fédéral pour demander au responsable de nous ouvrir le stand de tir plus tôt si cela ne le dérangeait pas. Généralement, ces vendeurs craignaient que les agences fédérales mettent le nez dans leurs affaires. Ainsi ils étaient plutôt conciliants avec les hommes de terrain qui les visitaient. L'homme nous ouvrit alors la porte du stand de tir ainsi qu'une des armoire qui contenait des armes et des munitions. Je le remerciais alors avant qu'il ne quitte la pièce et me tournais vers Sam en souriant :

« Bon, alors avant toute chose, il faut s'équiper.»

Je pris alors un casque anti bruit et lui passa autour du cou avec douceur. Cet instant fut des plus troublants mais je ne devais pas laisser paraitre mon ressenti. Après cela, je luis tendis une paire de lunette de protection en lui disant :

« Très important de porter ses lunettes. Il ne s'agirait pas d'abimer ces jolis yeux !»

Wow, qu'est ce qu'il m'avait prit de sortir une phrase dans ce genre là ? Ca n'était pas dans mes habitudes de jouer les fleurs bleues et de me dévoiler ainsi. Certes, je n'avais fait que dire le fond de mes pensées, car le regard de la jeune femme était tout à fait captivant. Mais habituellement je m'évertuais à cacher mes sentiments surtout vis à vis des femmes. Encore une fois, déformation professionnelle où toute relation était interdite dans l'armée.

« Tu te sens prête ? » Demandais-je à la jeune femme. Je voulais être sur qu'elle ne regrettais pas avant qu'elle ne tienne une arme.

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Avec James nous avions donc quitter le starbuck pour nous rendre dans la salle de tire. Je n'avais jamais mis les pieds dans ce genre de lieu, mais l'idée était assez intéressante. Bien que la salle soit fermer, James réussi tout de même à nous faire avoir accès au centre de tire. L'endroit était assez grand, mais il y avait un calme totale, n'étant que tous les deux, personnes ne pouvaient nous déranger et je n'allais pas m'en plaindre, habituellement nous nous voyons que dans le club où je travaillais, donc c'était toujours très bruyant. James m'aida alors à m'équiper, il me mis un casque anti-bruit, il fut très délicat pour me le mettre et sa façon de le mettre autour de mon cou, je le regarda quelque seconde, c'était...différent des autres moment que nous avons passer ensemble.

Par la suite il me donna des lunettes de protection, suivis d'un très joli compliment, décidément il était bien différent du James qui venait au club très souvent. Je pris la lunettes et lui dit alors

Merci...

A ce moment là j'avais l'impression d'avoir auprès de moi un autre James, cela ne me déplaisait pas, mais c'était tellement différent. Je mis alors mes lunette en place. J'étais enfin prête. Comme pour s'assurer que je ne voulais pas faire demi tour, il me demanda si j'étais prêt, je lui fis un sourire.

Oui, bon je ne garantie pas du tout d’exploit, mais je sus prête.

Lui dit je avec un sourire. Oui je ne savais même pas tenir un flingue correctement, mais bon j'étais avec un professionnel et je pouvais compter sur lui pour qu'il me montre comment faire.

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ameira semblait donc prête pour apprendre à tirer avec une véritable arme de poing. Je me saisis alors d’un 9mm qui se trouvait là, dans l’armoire, avec un chargeur déjà rempli de munitions. Il s’agissait de l’arme classique de tir, utilisée dans le monde entier. J’enfilai le chargeur dans la crosse du pistolet mais je ne l’armai pas, histoire d’éviter un quelconque accident. Je pris alors mon air sérieux, comme celui que j’avais à l’époque où j’expliquais à mes hommes la situation sur le terrain. J’espérais ne pas passer pour quelqu’un de bizarre à ses yeux, avec mes airs de militaire instructeur.

« Voici un pistolet 9mm semi-automatique. Ce qui veut dire qu’on l’arme qu’une seule fois pour ensuite vider le chargeur en appuyant autant de fois sur la gâchette qu’il y a de munitions. Pour tirer, le plus simple est de le prendre des deux mains sur la crosse et de tendre les deux bras vers l’avant. Il faut les garder bien tendus car si les coudes étaient pliés, tu risquerais de prendre l’arme dans la tête avec le recul du tir. Là, au moins, c’est sûr car le recul va juste faire lever tes bras légèrement et en plus c’est plus précis. Pour ce qui est d’appuyer sur la gâchette, il faut le faire avec le bout de ton index. Ne pas enfoncer ton doigt jusqu’à la seconde phalange comme on peut voir dans les films car ça pourrait te le casser… »

J’avais joins les gestes à la parole pour lui montrer les positions à tenir et les gestes à adopter. Je pouvais lire dans le regard de la jeune femme qu’elle n’était pas du tout rassurée vis-à-vis des consignes que je venais de lui indiquer. Pourtant, c’était justement en respectant cela qu’elle serait certaine de pouvoir tirer sans aucun risque. Mais il est clair qu’avant de tirer, il faut accepter que l’on tient une arme et que c’est donc plus dangereux que dans les films où certains acteurs tiennent les fusils à pompe à bout de bras et tirent avec en plongeant sur le côté… Désireux de la mettre à l’aise je lui dis en souriant :

« Rassures toi, ça va aller ! Et puis, je suis là ! »

Je lui montrai donc comment armer le pistolet en tirant la culasse en arrière avant de la laisser revenir en avant. Tournant l’arme, je la déposai ensuite avec délicatesse et prudence dans les mains de la jeune femme qui avait remis son casque. Elle se tourna vers la cible et tendis ensuite les bras. Je sentais qu’elle avait besoin d’être un peu plus rassurée, alors j’avais glissé ma main sur les siennes pour bien qu’elle tende ses bras en avant. Cela avait généré une sensation de caresse et d’effleurement entre nos bras qui n’était pas sans me perturber, parcouru de frissons à ce contact corporel.

« Voila ! Tu es en position. Juste une dernière chose, ton œil de visée. Vise la cible avec tes yeux ouverts puis ferme en un. Si l’arme est toujours alignée c’est que c’est le bon à fermer. Si au contraire tu as l’impression que ton point de vue se décale, c’est que tu as fermé le mauvais œil. Voilà, c’est quand tu le sens ! »

J’avais donc retiré mon bras et m’étais écarté un peu. Je ne pensais pas que cette activité pouvait donner lieu à de tels contacts entre nous mais je ne m’en plaignais pas, tant la proximité avec Sam m’était agréable…

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Bien que sa proposition de venir dans cette salle était très original et me plaisait, je n'étais pas très à l'aise avec ces armes autour de moi, ni dans l'idée d'en tenir un, j'avais un peu peur qu'un coup parte et que cela puisse nous blesser, mais bon, James pris le temps de bien m'expliquer ce qu'il fallait faire et ne pas faire. C'est explications était très clairs, mais pas rassurante pour autant, jamais je n'aurais imaginer qu'il y avait tant de conseils à donner, surtout que dans les film cela paraissait tellement facile, bon après justement c'était dans les films, donc il ne fallait pas confondre réel et fiction. James, tout en m'expliquant, m'avait montré aussi comment faire, mais je restais quand même inquiète. Cependant ces paroles me décontractèrent un peu, alors quand il me dit « Rassures toi, ça va aller ! Et puis, je suis là ! » je fus un peu plus à l'aise, me disant qu'effectivement il était là et qu'il maniait les armes avec facilité.

Je lui fis donc un sourire, pour lui prouvé que j'étais plus à l'aise, car il est vrai que pendant ses explications, j'avais du avoir la tête de quelqu'un de pas très rassuré. Il me donna alors le pistolet dans les mains, c'était un peu plus lourd que je ne le pensais. J'avais bien compris la position à prendre, d'ailleurs je m'étais mise en place, mais je n'étais toujours pas très à l'aise, cela du ce voir, car James vint me porter mains forte. Il se positionna derrière moi, afin de mettre ces mains sur les miennes, pour m'aider dans ma tenu du pistolet. A ce moment précis je fus proche de lui, bien plus proche que je ne l'aurais pensé. Je pouvais sentir son odeur, son souffle contre mon visage et le frisson qui lui parcouru le bras. Bien que très proche de lui, je me sentais bien, l'avoir aussi prés de moi était même des plus agréables, c'était une sensation que j'avais oublier. Il me donna un dernier conseil et s'éloigna de moi. J'attendis quelques secondes, afin d'être sûr de moi et appuya sur la gâchette. Après le coup, mes bras se levèrent un peu, mais étonnamment, je m'en étais plutôt bien sortis. Je posa le pistolet sur la petite tablette à côté de moi et me retourna vers lui, en relevant mes lunettes, un sourire aux lèvres je lui demanda

Grâce à tes précieux conseils, j'ai l'impression de m'en être plutôt bien sortis...

Je m'approcha de lui

Qu'en pense l'expert?

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e tir de Sam avait été bien exécuté, et en suivant les consignes que je lui avais indiquées. Elle avait parfaitement tenue l’arme à bout de bras et gérer le recul grâce à une bonne posture ce qui était déjà très bien. Certes, l’arme utilisée présentait l’avantage de disposer d’un frein de bouche qui limitait légèrement le recul. Mais cela n’enlevait rien à la bonne maitrise dont avait fait preuve Sameira pour une débutante. Après son tir, elle s’approcha de moi et me demanda mon avis sur son premier tir.

« C’était très bien ! Bonne position, bonne précision en plus parce que la balle a finis dans la cible. Bon après, tu peux t’amuser à tirer plusieurs coups de suite pour vider le chargeur et prendre le coup de main. Je te montre. »

Je me tournais alors vers l’armoire ou je prenais une autre arme de poing semi-automatique. Je la chargeai, l’armai, puis remis mon casque avant de me présenter devant le stand. Je pris position et tirai plusieurs coups de suite en direction de la suite, non sans une certaine habileté à maintenir l’arme droite et enchainer les coups à grande vitesse, avant de vider totalement le chargeur de ses dernières munitions. La cible, représentant la fameuse silhouette humaine, était parsemée de trous causés par les impacts des tirs. J’enlevai alors le casque de mes oreilles et me tournai vers la jeune femme en souriant avant de lui dire :

« A toi de jouer ! »

Personnellement, je préférais largement les armes automatiques dont on disposait dans l’armée, comme la carabine colt M4A1 qui disposait d’une cadence de tir impressionnante bien qu’un peu inutile car, comme presque toutes ces armes, l’intérêt était de tirer en petite rafale pour rester précis et ne pas finir par shooter les nuages. Les armes, c’est vraiment loin de la fiction que nous imposent le cinéma et la télévision. Et je pense que cette activité aura, au moins, permis à Sameira de s’en rendre compte tout comme de lui apprendre à s’en servir au cas où elle en aurait besoin un jour, ce que je n’espérais bien évidemment pas !

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J'avais bien l'impression de m'en être plutôt bien sortie, mais c'était grâce à James, qui m'avait bien montré comment tenir l'arme et aussi au faite qu'il avait du choisir, une arme facile à manier. Malgré le lieu, je passais un très bon moment avec James, le voir en dehors du club, me permettais de le voir sous un autre jour, ce qui était des plus agréable. Je lui demanda alors son avis de professionnel sur mon tir. Il me complimenta, mais bon le mérite lui revenait, il m'avait tout montré, je n'avais fais que tiré. Je lui dit alors.

Merci, bon après j'ai eu un super professeur...

Il me dit alors par la suite, que je pouvais tirer plusieurs coup à la fois, pourquoi ne pas essayer, mais je fus rassurer, qu'il décide de me montré l'exemple. Il pris une autre arme, qui n'avait rien à voir avec celle que j'avais eu en main. Il mis ses protections et commença à tirer. Il avait l'air si sérieux, si concentré. Je l'avais regarder lui pendant qu'il tirait et non la cible, il était tellement différent. Bien entendu je posa un regard sur la cible, il avait tiré parfaitement bien, c'était quelques chose qu'il faisait à la perfection. J'étais un peu perdu dans mes pensés, quand il retira ces protections en me disant « A toi de jouer ! ». Je ne savais pas du tout si je pouvais tirer à plusieurs reprise, mais j'avais envie d'essayer. Je remis alors mes protections en place, repris l'arme avec lequel j'avais déjà tiré et me repositionna, comme il me l'avait appris, avant de tirer plusieurs coups.

C'était nettement plus compliquer et les reculs étaient moins facile à tenir. Bien entendu je n'avais pas fait que tirer sur la cible, j'étais une débutante, je ne pouvais pas tirer dans la cible à chaque fois. Une chose était sûr, je ne regarderais plus un film d'action de la même façon. Après avoir tirés plusieurs coups, je posa de nouveau l'arme, puis retira mes lunettes de protection, avant de me tourné vers James

Cela parrait bien plus simple dans les films quand même...

Lui dit je un sourire aux lèvres.

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a jeune femme s’en était vraiment bien sortie pour la première fois. C’était en grande partie une question de feeling et je n’étais pas pour grand-chose dans le fait de sa réussite ou non malgré mes consignes précises. Il faut ce petit truc en plus qui fait que vous arrivez à bien tirer naturellement ou au contraire qu’il faille travailler pour obtenir des résultats. Lorsque Sameira me confia que cela lui paraissait bien plus compliqué, et difficile à maitriser, que dans les films, je hochai la tête en signe d’acquiescement tout en prenant son arme et ôtant le chargeur désormais vide. Je fis pareil ensuite avec le mien pour remettre les deux armes dans leurs rangements. Je savais bien qu’on allait pas user des cartouches et des cibles pendant des heures. Apprendre à tirer peut-être amusant mais cela peut vite devenir pénible et ennuyeux pour quelqu’un de normal. Alors nous ne nous attarderions pas des heures ici.
Néanmoins, au moment de ranger les armes, j’aperçus un petit bijou que je regardais avec l’émerveillement d’un enfant devant des cadeaux de noël. Un P-90 se trouvait là ! C’est un pistolet mitrailleur pouvant être plutôt considéré comme un fusil d’assaut compact. Une petite arme au design très singulier et présentant de nombreux avantages, surtout au niveau de la maniabilité et de la cadence de tirs hallucinante. J’attrapai alors cette arme comme le saint graal ainsi que son fameux chargeur translucide avant de le mettre sur l’arme et de l’armer. Je me tournais alors vers Sameira, sourire aux lèvres en lui expliquant :

« Avant qu’on parte, je dois te montrer la puissance de ce petit bijou ! Pas besoin de lunettes si tu te mets sur un côté car les douilles s’éjectent sous la crosse. Par contre remet ton casque et regarde ! »

Je pris alors position sur le stand et pris l’arme fermement dans les mains, visai la cible et tira plusieurs rafales de cinq balles avant de finir par vider le chargeur en une énorme rafale de vingt balles environ. La cible n’était plus qu’un lambeau de carton déchiqueté de toute part. Cela pouvait paraitre bizarre de s’amuser autant avec des machines à tuer. Mais là, je ne m’en servait que pour porter atteinte à la vie de cibles en carton… Une fois terminé, je rangeait l’arme et le chargeur vide avant de dire à sam en souriant

« C’est plus dur à maitriser mais tellement plus amusant ! »

Puis je me rapprochai d’elle pour lui demander les yeux dans les yeux

« J’espère que cela t’aura un peu amusé. Les armes, c’est une part importante de ma vie militaire, et même si je n’en tire aucune fierté, je ne peux nier que cela fait un peu partit de moi. En espérant que cela ne me fasse pas passer d’avantage pour un taré ! »

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Bon finalement je n'étais pas si nul que cela avec une arme dans la main. J'avais réussi à faire des bons tirs. J'en avais oublier le faite que j'avais travailler toute la nuit et le faite que la soirée ne c'était pas forcement bien passer. J'avais oublier cette blogueuse, qui disait que j'avais une liaison avec mon patron et tout cela pour une promotion canapé. Oui, tout cela était partie dans un creux de ma tête, pour ne pensé qu'au bon moment que je passais en compagnie de James. Il avait ranger les armes que nous avions utilisés, mais en ressortis un autre du placard. Il me dit alors qu'il allait me montré comment marche cette arme. Il me dit alors que je n'étais pas obliger de mettre mes lunettes, mais que je devais mettre mon casque. Je le remis alors sur mes oreilles et le regarda faire.

Je le regarda tirer avec cette nouvelle arme, il s'y prenait parfaitement bien. Les bruits des coups firent du bruit, mais mon casque, couvrit le plus gros. Il tira de nombreux coup, avant que le chargeur ne soit complètement vide. A présent la cible ne ressemblait plus du tout à rien, en même temps elle avait reçu de nombreuse balles. Quand il s'arrêta et qu'il me dit qu'avec cette arme c'était beaucoup plus amusant, je lui souris et l'applaudit.

Dit donc tu es un véritable professionnel...

Il s'approcha alors un peu plus de moi. Nous étions assez proche, à vrai dire je ne pense pas que nous ayant été si proche, mise à part quand il m'avait mis les lunettes. Il me parla alors et ce qu'il me dit me fis un peu rire, je lui dis alors, un sourire aux lèvres.

Non...t’inquiète j'ai passer un super moment...c'était très agréable et original.

Très original, mais j'aimais cela, les choses qui sorte un peu du commun. En tout des cas j'avais passer un super moment en compagnie de James, je l'avais découvert différemment.

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'étais heureux de constater que l'activité proposée avait eu l'effet escompté : Faire passer un bon moment à la jeune femme pour mieux la découvrir tout en lui faisait oublier sa soirée compliquée. La plus belle récompense pour moi était tout simplement ce sourire magnifique que venait de m'offrir Sam en me confirmant qu'elle venait de passer un bon moment. Ah que je regrettais d'être un véritable nul en relation humaine, surtout avec les femmes dont le charme opérait sur moi... J'aurais aimé faire ou dire quelque chose pour que la jeune femme comprenne que j'appréciais moi aussi sa compagnie et que je serais ravi de partager d'autres moments de complicité. Mais j'avais beau être un solide militaire, je me sentais face à elle vulnérable comme un enfant qui ne sait pas vraiment comment s'exprimer sans être sur de ne pas faire de faux pas...

« La prochaine fois, je serais ravi de connaitre ton univers à toi ! »

Oui car j'étais certain que la jeune femme n'avait pas pour seule passion la danse dans les clubs. Elle faisait ce métier pour s'en sortir et en attendant de trouver autre chose, m'avait-elle dit. Je n'aimais pas particulièrement ses lieux de striptease dont je n'appréciais pas vraiment l'ambiance qui y regnait en général. Mais je m'étais rendu à son club pour boire un simple verre et lorsque nous avions discuté ensemble, j'avais tout simplement ressentit une curiosité de la découvrir et j’appréciais sa compagnie, son sourire, sa personnalité. D'ailleurs, si j'y étais retourné, ça n'était pas pour me rincer l'oeil comme la plupart, mais uniquement parce-que je me disais que j'avais peut-être une chance de la voir et de lui parler. Encore qu'il fallait avouer que le spectacle offert était loin d'être désagréable...

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J'avais encore du mal à croire que j'avais pris en main une véritable arme et encore plus du mal à croire que je m'en étais aussi bien sortis. James m'avait montré quelques choses qu'il aimait, les armes. Je n'avais pas souvent l'occasion de sortir depuis que j'étais à Los Angeles, en effet depuis 6 mois que j'étais arrivée et surtout avec le travail que je faisais, mes journées je les passais très souvent au lit et seule bien entendu. James me proposa alors de lui montré mon univers la prochaine fois, c'était avec grand plaisir et bien entendu je n'allais pas lui dire de venir au club, bien que j'y passais la plupart de mon temps, ce n'était pas du tout mon passe temps préférer et encore moins mon univers, le stripteause était juste une bonne occasion de gagner de l'argent.

Avec plaisir, si tu n'a rien contre l'eau je serais ravis de partager une partie de mon univers avec toi...

Oui en effet j'adorais l'eau et plus particulièrement la mer, j'avais appris à nager en même temps que j'avais appris à marcher et je faisais du surf depuis des années, je me débrouillais même très bien. J'avais eu l'occasion d'aller surfer plusieurs fois depuis mon arrivée en ville et j'avais toujours passer un très bon moment, loin de mon travail de nuit et de ces hommes qui prenaient plaisir à me regarder me dévêtir. Je regarda James, grâce à lui j'avais vraiment passer un moment des plus agréable, oubliant mes soucis et pendant tout ce moment j'avais eu l'impression d'être normale. Je m'approcha de lui et lui déposa un bisous sur la joue

Merci pour ce moment passer avec toi, c'était très agréable.

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