Escapade Familiale - Jacobs & Cooper

L'escapade Familiale.

feat. Jacobs & Cooper

Les 76 ans de tata Germaine. J'avais reçu l'invitation dans une jolie enveloppe bleue, et dedans, une carte joliment calligraphié. Je l'avais posé sur ma commode en ne faisant plus vraiment attention, jusqu'à ce que ma mère daigne m'appeler pour me dire qu'elle voulait vraiment que tout le monde soit la et que du coup, elle avait la bonté de me payer le billet d'avion. Gentille fille que je suis, je n'ai pas osé dire non et j'ai donc fait mon sac pour mon minuscule retour au pays. Évidemment, ma mère m'avait pris le billet d'avion après qu'eux y soient évitant une probable confrontation. D'ailleurs, je ne savais pas si nous serions tous réunis même si je pense que j'aurai la chance de voir mes cousins et peut être mon frère, ça promettait.
Le vol en avion fut assez désagréable, entre un gosse qui geint et un vieux qui ronfle, j'ai vite trouvé un certain réconfort dans mon casque qui me permettait de m'isoler admirablement bien. J'ai béni l'inventeur du casque, même si je dois l'avouer, je n'ai pas tardé à piquer un somme.
L'arrivée se fit en douceur, assez en douceur pour me réveiller en sursaut, provoquant l'hilarité du gosse à coté de moi. Tsss. J'ai pris mon sac, je suis sortie de l'avion avant d'aller prendre ma valise puis un taxi, m'amenant à la maison de tata Germaine. C'était une vieille bâtisse isolée, comportant assez de lit et de chambre pour tout le monde. Quand, étant encore innocente, j'y allais, je n'étais jamais la seule enfant, ce qui fait que mon lit de l'époque ne pas vu si souvent que ça. Le taxi m'a déposé et après avoir réglé ma course, je me suis dirigée d'un bon pas vers la maison, sac sur le dos, remarquant déjà une certaine agitation et remarquant que j'arrivais en pleine festivité. J'ai soupiré lourdement, pose mon sac dans un coin avant d'aller dans le jardin, me dirigeant vers une table, ou ceux qu'y étaient assis me connaissaient et que je connaissais bien.
- Je sais, je vous ai manqué !

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Escapade Familiale
L’anniversaire de Tata Germaine… L'évènement le plus attendu de l’année ! Comment ça on sentait l’ironie ? Blague à part, Ulysse était vraiment content de cet évènement. Non pas parce que sa chère tatie allait souffler ses 76 bougies mais, parce qu’il allait pouvoir retrouver une partie de sa famille qu’il n’avait pas depuis un bail. Et puis, il allait pouvoir retourner au “bled” comme il aimait le dire. Bien sur, il savait bien que ce n’était pas le sens exact de cette expression mais, il aimait bien se l’approprier et l’arranger à sa manière. Mais, avant ça, il fallait prendre l’avion et il retrouva la partie Jacobs de la famille à l’aéroport. Pourquoi partir à des heures différentes si c’était pour arriver dans un seul et même endroit. Seule Léo manquait à l’appel. Sa mère bredouilla quelque chose comme toi, elle avait un truc à terminer et qu’elle arriverait plus tard. Ulysse haussa les épaules, décidant de ne pas s’en soucier.

Le trajet en avion fut plutôt long mais Ulysse en profita pour discuter avec la très charmante jeune femme qui était assise à ses côtés. Si bien, qu’à la fin du trajet, il réussit à obtenir son numéro. Peut-être qu’il allait la rappeler, peut-être non… Il verrait au moment venu. Puis, quelques heures en voiture pour arriver dans la maison de campagne de leur grande tante.

"Bon anniversaire Tatie ” dit Ulysse en entrant dans la maison avant d’aller faire la bise à sa tante. "Tout va bien ? Tes rhumatismes ne te font plus trop souffrir ?”

Ensuite, la famille en profita pour poser les valises dans les chambres, en essayant de se répartir et savoir qui dormait avec qui. Et oui, la famille était très grande mais, le nombre de place était limitée. Ainsi, il fallait faire des concessions et partager sa chambre avec une autre personne mais bon, pour Ulysse, ce n’était pas dérangeant. Une fois les affaires rangées, la petite famille alla dans le jardin pour profiter d’un bon tea time et parler du temps perdu. Deux heures plus tard, Léo arriva enfin sur place.

"Hey Léo ! Bien sûr que tu nous as manqué ! Ces quelques heures sans toi ont été interminables" dit-il avec un grand sourire.© 2981 12289 0

L'anniversaire de la tante Germaine allait être l'occasion pour nous de revenir au pays comme nous le faisions, grand maximum une ou deux fois par an. La dernière fois, c'était à Noël si je ne m'abuse, et cette année, nous avions donc droit à un nouveau voyage pour un anniversaire, un moment spécial donc, sinon, il n'y avait pas de raisons de revenir comme ça sur nos terres natales, n'est ce pas ? Non, aucune. Et puis, il ne faut pas dire mais le billet n'est quand même pas donné, je dois l'avouer, c'était à chaque fois ce qui me mettait le plus mal à l'aise, le prix de ce fichu billet, mais bon, c'est comme ça, on le prends à l'avance et il revient à un prix raisonnable même si c'est quand même trop cher pour moi. Oui, je sais, je fais ma radine, mais je ne roule pas non plus sur l'or même si notre pâtisserie, faisant aussi office de salon de thé fonctionnait bien, parce que nous avions un bon bouche à oreille. Il faut quand même compter les frais, la matière première, du coup, après avoir tiré notre salaire, pour nous quatre, il ne reste pas grand chose malheureusement, mais nous nous en sortons bien, c'est tout ce qui compte, n'est ce pas ? Oui, je le pense en tout cas. Bref, le trajet en avion allait se faire avec presque toute la famille qui était sur Los Angeles, il ne manquait que Léo si je ne m'abuse, mais sans doute avait-elle décidée de faire bande à part, comme parfois. J'avais donc fait en sorte de passer commande de produits bien spécifiques pour notre tante. Elle avait du être surprise de recevoir ça, mais cela faisait partie de la fête, c'était mon cadeau personnel pour ma tante, et par extension pour toute la famille à vrai dire. Je suis pâtissière, alors autant profiter de mes talents pour que tout le monde se régale, n'est ce pas ? Une fois sur place, je souhaitais un bon anniversaire à ma tante, avant de rejoindre les fourneaux et de préparer les gâteaux. Parce que si nous n'étions pas aussi nombreux qu'à Noël, il y avait quand même des bouches à nourrir. Alors, je me lavais les mais, prenait mon tablier et c'était partie pour un mille feuille géant, du moins, deux milles feuilles géants avec des saveurs particulières pour satisfaire tout le monde.

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Famille Jacobs & Cooper

Je n'étais pas du tout fan à l'idée de retourner en Ecosse, d'ailleurs j'avais mis l'invitation de l'anniversaire de ma tante de côté et je ne comptais pas du tout y aller. Je n'avais pas mis les pieds en Ecosse depuis 18 ans. En effet l'année de mes 13 ans mon père m'avait envoyé vivre chez ces parents, à Los Angeles, mes grand parents étaient aux USA depuis très peu d'année, mais mon grand père avait réussi à y faire son nid. Si au début j'avais était furieux de quitter ma ville natale, aujourd'hui j'aimais vivre à Los Angeles. Enfin, revenons à l'anniversaire de Tata Germaine, hors de question que j'aille me geler les fesses, j'avais donc décliner l'invitation. Mais bon mes parents ne le vis pas de cet œil là. Ils étaient venu me voir chez moi, en me disant que j'étais obliger d'y aller, que cela me ferais du bien de revenir en Ecosse, mon père me reprocha même de mettre trop " américanisé et embourgeoiser ".

J'avais finalement accepter et je leur avait dit, que je viendrais en Ecosse, au moins je serais avec ma soeur et mes cousins/cousine. Je pris donc l'avion, en route pour l'anniversaire de Tata Germaine. Le vol fus assez long, mais bon j'aimais bien l'avions, donc le voyage se passa très bien. Une fois arrivé en Ecosse, je pris un taxi direction la maison familiale de la famille de ma mère. Je n'avais pas vu la plupart depuis des années. Il y avait beaucoup de monde, trop de monde et l'idée de dormir dans des dortoirs, ne me plaisais pas du tout. Je paya ma course au chauffeur de taxi et alla rejoindre ma famille. Je vis ma soeur, mon cousin et ma cousine. Ils se ressemblait un peu tous les trois, de taille normal, très fin, un petit visage, c'était le physique du côté de ma mère. Moi je ne leur ressemblais pas, j'avais tous pris du côté de mon père, j'étais grand, avec mon mètre quatre vingt cinq et j'étais très carré, dans le style armoire à glace, je tenais se physique de mon père, mais je n'allais pas m'en plaindre, j'aimais mon physique.

J'avais souhaiter un bonne anniversaire à ma tante et j'avais saluer les membres de ma famille, finalement je n'aurais peut être pas du venir, vu l'entente avec mon père. Je m'approcha de ma soeur, qui était avec mon cousin Ulysse.

Salut...

Emi Burton

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Avant d'avoir pu répondre à Ulysse, j'ai vu Alistair débarquer. Je l'avais vu avant de partir et il semblait être plus paumé que moi, je lui ai adressé un sourire enfin bref, j'ai tiré une chaise avant de me servir à boire et de boire une gorgée pour me rafraîchir, l'eau dans l'avion était pas top et trop cher, je me rattrapais donc la, étant donné que les toilettes étaient beaucoup mieux ici pour soulager ma vessie que celle de l'avion.
- Vilain flatteur, j'espère au moins que t'as des détails croustillants pour moi, parce que mon voyage a été d'un ennui mortel. J'ai pas vu Cassandre, elle est ou ?
Demandais-je en voyant Alistair rester debout. Je crois que je ne suis jamais venue ici avec lui, enfin, étant enfant.
- Salut ! Alors, t'as fais bon voyage ?
M'exclamais-je surprise de mon enthousiasme. J'ai levé la tête mon tenter d'apercevoir mes géniteurs, qui discutaient avec Tata Germaine. Bien sur que j'étais tentée de choisir ce moment exact pour aller lui souhaiter un joyeux anniversaire, mais j'ai décidé de rester sage, choisissant d'attendre d'être la dernière à aller lui souhaite un bon anniversaire.
- Tu sais dejà le programme ?
Demandais-je à Ulysse qui avait débarqué avant moi, on devait bien lui avoir fait un topo, vu comment ma vie avait été réglé comme du papier à musique, devait y'avoir un programme cacher sous ces festivités.

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Escapade Familiale
Même si Léo habitait à Los Angeles, Ulysse était vraiment content de voir sa cousine car elle lui avait un peu manqué. Ils ne se voyaient pas assez souvent à son goût. Comme quoi, on pouvait parfois vivre à 500m l'un de l'autre et ne jamais se voir. Intérieurement, il se dit qu'ils devraient passer plus de temps ensemble une fois revenu sur le territoire américain.

"Des détails croustillants... Hummm. Eh bien j'ai rencontré une femme forte charmante dans l'avion. Blonde, à grosse poitrine... Le genre de femme qui fait tourner la tête des hommes ! Elle était très gentille ! Pas très intelligente mais, sa poitrine compensait le reste" dit-il en rigolant. Ulysse n'était vraiment pas le genre de personne à ne regarder que le physique mais, de temps en temps, il aimait bien faire des réflexions masochistes juste pour énerver les gens."Je pense que tu ne l'aurais pas trop apprécié... C'est vraiment le stéréotype de la blonde sans cervelle... Mais au moins j'ai réussi à avoir son numéro !" Il sortit un petit papier de sa poche. "Voilà, Samantha, même son prénom est un stéréotype !"

Puis sa cousine, ayant remarqué que Cassandre manque à l'appel demanda où cette dernière était passée.

Ou veux-tu qu'elle soit ? Derrière les fourneaux ! Comme d'hab ! Après, je ne m'en plains pas, c'est mon estomac qui va être content !"

Ensuite, une nouvelle personne rejoint leur petit groupe, il s'agissait d'Alistair, le frère de Léo. Une autre personne qu'Ulysse ne voyait pas assez souvent à son goût. Après, il s'était toujours sentit plus proche de Léo que d'Alistair dont il n'arrivait pas vraiment à cerner la personnalité. Peut-être que celà était aussi dû au fait que, très jeune, Alistair avait été envoyé à L.A et avait donc moins passé de temps avec eux enfant que Léo.

"YO AL ! Comment ça va depuis le temps ? La forme ?"

Puis Léo demanda à Ulysse s'il connaissait le programme de la journée. Le batteur se frotta le menton, réfléchissant et puisant au plus profond de sa mémoire.

"Alors, si je me souviens bien ce que ma mère à dit... On attends que tout le monde arrive et on commence l'apéro, ça va donc durer au bas mot deux heures, puis le repas et le dessert... Je pense que ça va être trèèèèèèèèèès long et qu'on va sortir de table aux alentours de 17h... Voir 18h... Et sachant qu'après y'a un repas ce soir... Ah ! Il me semble aussi que Tonton Didier à prévu un diaporama sur Taty Germaine pour le dessert. Ô joie immense, infinie." dit-il avec ironie.

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" Mais qui voilà ? Mais, mais, on se connait ? Qu'est ce que vous faites là ? "

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Famille Jacobs & Cooper

Je ne savais même pas pourquoi j'étais venu ici, surement à cause de ma mère, qui m'avait en quelques sorte obliger de venir. J'avais du fermer le club pour quelques jours et cela ne me plaisait pas du tout, j'avais des clients fidèle, qui venaient tous les soirs voir les filles, donc autant dire que j'allais perdre un peu d'argent. Mais bon en arrivant j'avais fait bonne figure, en saluant les gens et en restant poli, puis j'avais rejoins ma soeur et Ulysse. Je m'entendais très bien avec ma soeur, petit à petit nous étions en train de crée un véritable lien. Ulysse, bien qu'il soit mon cousin, je n'étais pas spécialement proche de lui, je ne le connaissais pas vraiment, il était beaucoup plus proche de ma soeur. Alors quand ma soeur me demanda " Salut ! Alors, t'as fais bon voyage ? " je lui dis alors.

Très bien jusqu'à mon arrivé ici...

Quand j'étais sortis de l'aéroport, j'avais eu froid, c'était quoi ce pays où il faisait froid ? Les température étaient très différente qu'à Los Angeles, pourtant la plus part des personnes présente ici portaient des tenus assez légère. Puis rapidement ma soeur parla à Ulysse du programme de la journée, horrible, j'avais déjà envie de me tiré une balle dans la tête.

Et bien on sa s'éclater...

C'est alors que Cassandre débarqua, toute joyeuse, je lui fis un sourire et lui fis la bise, je ne l'avais pas vu depuis un long moment.

Alors comment ça se passe en cuisine?

Emi Burton

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feat. Jacobs & Cooper

J'ai écouté attentivement son amourette volante avant de rire. C'est vrai que je n'étais pas fan des filles artificielles et bêtes comme leurs pieds mais comme dirait ma mère, il faut de tout pour faire un monde. J'ai ensuite écoute avec beaucoup d'attention le programme de la journée. Elle surpassait mes espérances en tant que repas de famille. Ça allait être très très long. J'ai grimacé avant de voir Cassandre arriver, je me suis levée pour lui faire la bise avant de me rasseoir sur ma chaise.
- On est ici pour les mêmes raisons que toi. Dis-je en riant, gagné par la bonheur humeur des retrouvailles. Ça va toi ? Faudrait que je passe un de ses jours à la patisserie, Ulysse m'en laisse jamais.
Dis-je en souriant à mon cousin, ce genre de sourire moqueur qui part sur une dispute, même si nous étions des adultes matures et... Comment ça, c'est pas crédible ? Bon ok, j'avoue.
- Ô désespoir infini plutôt, j'espère qu'ils ont prévu des coussins.
Plaisantais-je, sachant pourtant qu'au plus profond de moi, je ne riais pas. On savait déjà tous comment se finissait les diapos de Tonton Didier, par une sieste générale. Enfin, surtout quand j'étais petite mais a ma connaissance, ça n'avait pas changé. J'ai ensuite reporté mon attention sur Alistair.
- C'est vrai, t'es pas un habitué.
C'est une question d'habitude, c'est vrai que je sens plus la différence de température que quand j'étais plus jeune, mais ça ne me dérange pas plus que ça, surtout qu'il a l'air complétement paumé. Je me suis ensuite penchée sur le ton de la confidence, je ne voulais pas risquer une affaire d'état.
- Y'as pas un moyen pour qu'on s'éclipse ? Entre le plat et le diapo ? Je veux pas casser l'ambiance mais je suis encore trop jeune pour rester assise sans rien faire à une chaise.
Ronchonnais-je en laissant un regard à chaque personne concerné qui etait autour de moi. C'était à dire Ulysse, Cassandre et Alistair qui semblait revenir sur terre. D'ailleurs. Pourquoi on ne lui montrerait pas du pays ? Il a l'air de s'ennuyer.

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Escapade Familiale
Peu de temps après l'arrivée d'Alistair, Cassandre arriva à son tour. Elle avait fini ce qu'elle avait fait dans la cuisine. Elle fut accueilli avec plaisir par ses cousins qui lui dirent qu'ils avaient hâte de goûter à ce qu'elle avait préparer. Léo ajouta une blague en disant qu'elle n'avait jamais eu le temps de goûter à une des pâtisseries de Cassandre car Ulysse mangeait tout.

"Non, je ne vois pas de quoi tu parles... J"ai un alibi... J'étais au cinéma."

Suite à l'annonce du programme de la journée, ce dernier fut accueilli avec joie... Enfin... Avec autant de joie qu'un rat crevé. Au moins, il était sur la même longueur d'onde. Les repas en famille, c'était cool, mais pas quand tonton Didier faisait des diaporamas. Ils avaient tendance à être long, sans intérêt et un puissant somnifère. Léo émit ensuite l'idée de s'éclipser.

"Ce serait une super idée mais, rien n'échappe à l'oeil aguerri de tonton Didier."

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