une soirée de travail comme les autres - PV Juan

UNE SOIRÉE DE TRAVAIL COMME LES AUTRES

JUAN & SAM

J'étais arrivé au avant même l'ouverture du club, Alistair, qui était dans son bureau, m'avait proposer de me poser avec lui, pour boire un truc, oui étant en avance, je n'allais pas refuser. Bien qu'il soit très stricte, c'était un patron sympa, qui faisait attention que les clients n'ai pas de gestes trop déplacer, oui beaucoup avait tendance à toucher un peu trop. Après avoir bu un petit truc avec lui, je me rendis dans la salle de change et me prépara pour la soirée. Les filles arrivèrent au fur et à mesure et l'ambiance était plutôt bonne enfants. Il y avait toutes sortes de femme ici, avec des physique différent, de toutes origines, il fallait bien que tous les clients " trouve " leur bonheur. Je ne m'étais jamais plains de mon physique, il me plaisait beaucoup et pour le coup le bon dieu m'avait gâter. Devant le miroir, je retira la chaîne en or que je portais, avec une croix très fine en pendentif, c'était un cadeau de ma mère. J'embrassa le pendentif et dit alors

Seigneur pardonne moi pour ce que je vais faire...

Je posa le pendentif que ma coiffeuse. J'avais été élever par ma mère, très croyante, nous allions à l'église chaque semaine et nous prions avant chaque repas, alors le grand patron, ne devait pas être très fière de moi, mais bon, ce n'ai pas lui qui me payait tout ce dons j'avais besoin. Une de mes collègue, une femme au physique imposant, elle était assez costaud, mais très gentille, nous nous entendions bien, elle me dit alors " Si tu pense qu'il peux nous aider, pense à moi... " elle me fis un sourire et je lui rendis. Puis ce fus le lancement de la soirée.

Comme tous les soirs il y avait du monde, beaucoup de monde, uniquement des hommes bien entendu. En début de soirée, je commençais toujours pas le service, oui nous le faisions à tour de rôle. Je portais donc l'uniforme du club, il y avait très peu de tissus et c'était très sexy, mais cela faisait vendre des consommations aux clients. La partie de la soirée où je servais passa très vite, après plusieurs verres vendus et plusieurs mains au fesses je dus me rendre dans les " loges " pour me changer. Il y avait toute sorte de costumes et chaque filles avaient leur costumes, dieu merci. Pour le premier show de la soirée, je mis un costume de cow girl, qui était des plus sexy, il y avait même le lasso qui allait avec, oui toute la panoplie.

Mon passage sur scène se passa très bien, je n'avais pas de gêne sur scène, heureusement. Je faisais cela depuis tellement longtemps. J'avais commencer le stripteause à l'âge de 19 ans, à la mort de ma mère et après avoir passer plusieurs semaines sous les ponts, n'ayant pas du tout d'argent, se travail avait était une bénédiction.

electric bird.

Je sais je sais ce que vous allez dire, encore au Silver Reign en même temps après un concert de plusieurs heures, il faut bien que j’aille me détendre non et puis de toute façon je viens ici presque incognito le patron me connaît mais je suis du genre quand même à respect mon anonymat du coup je me cache derrière un masque vénitien noir pour que personne ne me reconnaisse en même temps j’ai tout de même une réputation à garder celle d’un musicien de renom mais aussi celle du Don Juàn et c’est pour ça que j’étais là. En même temps j’étais un habitué personne ne savait qui j’étais réellement sauf cette fille là-bas qui était à la barre, je lui avais montré mon visage.

Je la plaignais souvent car je savais qu’elle ne faisait pas ça par plaisir, je lui donnais souvent des gros chèques mais on avait encore jamais couché ensemble. Oui parfois j’étais un homme bien et je donnais au plus pauvre ça m’excitait d’être comme ça. Pour certains ça peut paraître bizarre mais parfois quand je voyais le regard de Sameira, je me retrouvais un peu. Bon certes je n’avais pas eu le même malheur qu’elle puisque j’avais toujours eu tout ce que je voulais mais bon la vie est dure pour certains quand même.

Après le Show de CowGirl je me déplaça dans les coulisses pour aller quand même féliciter la belle jeune femme qui avait fait tout son possible pour donner l’un des plus beaux premiers shows de la soirée, ce n’était pas que les autres étaient nulles, c’était juste qu’elle était l’une des plus belles qui attiraient mon œil peut-être qu’un jour, elle serait dans mon tableau de chasse enfin j’espérais.

« Dis donc ma cowgirl préférée, tu as pas oubliée quelque chose avant de partir et mon petit bisou là un. Don Juàn n’est pas très content si tu l’oublies et tu le sais très bien. Tu mériterais que je t’attache et te fouette avec ton lasso »

Je disais en rigolant un peu puis je pris son lasso pour lui faire une petite blague, j’étais doué avec les jouets en même temps j’avais l’habitude parfois je jouais moi-même avec ce genre de petit jouet avec mes chères victimes. Je la regardais dans sa tenue, je n’arrivais pas vraiment à me contenir pour vous dire tellement la tenue lui allait bien. Je n’avais qu’une envie c’était de fermer la loge à clé et de faire quelques trucs avec elle pas très catholique mais bon, il fallait que je l’a respecte, je lui avais promis.

« Bon tu vas faire quoi après la cowgirl ma chérie ? »

Je disais ça d’une voix suave comme je savais si bien le faire. En même temps je m’étais entraîné à faire ça toute ma vie.

UNE SOIRÉE DE TRAVAIL COMME LES AUTRES

JUAN & SAM

Parfois je me disais que ma mère devait se retourné dans sa tombe si elle me voyais faire ce genre de chose, si elle était encore vivante, elle me dirait simplement que dieu me pardonnerais pas pour se pêcher, oui ma mère était très croyante et bien que j'aille à l'église chaque semaine, je me disais très souvent que le bon dieu n'avait pas fait grand chose pour ma famille. Je n'étais pas du genre à me plaindre de ma vie, comme disait toujours ma mère " así es la vida ", c'est la vie. Je savais très bien qu'un jour la chance allait me sourire, je pourrais faire autre chose que travailler dans se club, mais pour cela, j'allais devoir me bouger et pas me contenter de gagner de l'argent dans ce club.

J'avais fais mon show, avec un sourire aux lèvres, oui même si le métier ne me plaisait pas à 100%, je l'avais choisis, personne ne m’obligeait à faire cela, donc hors de question de faire la tête. Cependant une fois dans les " loges " je pu souffler, plus se bruit, plus de musique et le silence était très agréable. Je ne resta pas seule bien longtemps, un habituer arriva. Il ne me gênait pas, contrairement à beaucoup il était agréable, poli et n'avait pas les mains trop baladeuses. Il me parla, il avait toujours cette petite touche d'humour, pas méchante du tout. Comme tous les soirs, car oui il venait tous les soirs, il me réclama son bisou et se qualifia même de Don Juàn, bon je lui souhaitais tout de même un meilleur destin que celui de Don Juàn. Je lui fis un sourire, m'approcha de lui et lui fis un bisou sur la joue.

Je suis pardonnée?

Lui demandais je un sourire aux lèvres. Oui nous étions en train de nous taquiner, gentiment. Il pris alors mon lasso, pour me faire une petite blague. Il avait tout de même l'air d'aimer cette objet, je posa mon regard sur lui et m'approcha de lui avant de lui dire.

Dit donc tu à l'air d'aimer ce genre de jouet...un habituer?

Juan était un très grand charmeur, mais comme beaucoup de latino. Même si il était mon " client " je m'entendais plutôt bien avec lui et nous avions crée un lien un peu plus poussé que le lien client/stripteaue.

Je suis au club jusqu'à la fermeture et après retour chz moi pour un repos bien mérité...et toi des projets en tête?

Lui demandais je un sourire aux lèvres.

electric bird.

Je regardais Sameira, elle avait vraiment l’air très préoccupée en ce moment même dans son show, elle pensait à quelqu’un d’autre. J’espérais qu’elle n’était pas déjà en couple parce que franchement je ne prendrai pas très bien ce genre d’information. Elle me souriait mais je voyais bien qu’au fond de soi, elle était ailleurs peut-être qu’un des clients avait été trop relou avec elle, enfin je ne voulais pas trop lui demander de peur qu’elle ne me referme la porte à la tête surtout qu’en soit, elle ne se doutait pas que je voulais coucher avec elle enfin je le pensais vraiment, je savais quand même bien cacher mes ardeurs. Bon certes parfois j’étais plus relou mais avec elle, j’étais un homme délicat.

Je voyais le lasso, j’avais réellement envie de l’utiliser mais je le reposai devant elle. Une cowgirl comme ça franchement ça ne se refuse pas surtout pour moi qui suis un gros pervers et qui aime clairement jouer avec des jouets de ce style. Mais bon il fallait que je me calme un peu. Je lui répondis alors avec un sourire

« Mouais je te pardonne... pour cette fois mais la prochaine fois tu viens me voir de suite et me faire mon petit bisous. Tu sais comment je suis Sameira, je ne me refuse pas quelques plaisirs tout de même charnel avec mes conquêtes. D’ailleurs je t’attends toujours ma chère, tu ne m’a jamais répondu »

Je vous l’avais dit, j’étais souvent très discret dans mes propos, bon là c’était un très mauvais exemple. Je me rapprochai d’elle et lui fit un bisou dans le cou. Ni vu ni connu je savais que ça excitait beaucoup de femmes. J’avais dans ma sacoche une bouteille de Champagne Rosé que je sortis, je vis des coupes non loin d’une table, je pris les deux. Déboucha délicatement la bouteille et mis le liquide rouge pétillant dans deux coupes. Je tendis l’une des coupes à Sameira, elle venait de me demander ce que j’allais faire après.

« Je ne sais pas encore vraiment ce que je vais faire après, tu sais je suis en train de refaire mes compositions. Peut-être qu’un jour je te ferai entendre ça mais je ne suis pas sûr que tu sois intéressé par cela et puis j’avoue que certaines de mes compositions sont bien triste mais c’est ce qui vend le mieux en ce moment. Tu sais dés que y’a de l’émotion les gens adorent »

Je pris mon verre et le tendit en face de Sameira qui n’avait toujours pas oser le prendre, j’espérais qu’elle aime tout de même le champagne ou encore qu’elle buvait de l’alcool. Après tout c’était quand même une bonne bouteille, je lui fis un sourire.

« Ne t’inquiètes pas je ne dirai rien à Alistair et puis il n’est même pas au courant que je ramène mes propres bouteilles ici »

UNE SOIRÉE DE TRAVAIL COMME LES AUTRES

JUAN & SAM

Juàn était un client hors du commun, il était respectueux, oui beaucoup de clients étaient beaucoup moins sympathique. Il était venu me rejoindre dans la loge et sa présence ne me dérangeait pas du tout, bien au contraire. Au début j'avais pris Juàn pour un fou ! Oui il portait un masque, je l'avais même pris pour un maniaque, mais il n'était rien de cela, en vérité il cachait son visage. Il était un musicien connu et je comprenais parfaitement le faite qu'il ne veule pas que tout le monde sache qui il était. Cependant je ne savais pas si en se cachant, il cherchait à échapper aux potentielles fan hystériques ou tout simplement le faite qu'il traîne dans se genre de lieu.

Il m'avait un peu taquiner et pas seulement avec mon lasso, il me dit alors que je n'étais pas venu lui faire un bisou quand il était arrivé. Pour dire vrai je ne l'avais pas vu arrivé, j'avais passer un peu de temps en salle à servir et avait du supporter les mains de gros pervers sur mes fesses, donc je n'avais pas du tout fait attention aux clients qui entrait. Bref pour me faire " pardonner " je lui fis un petit bisou sur la joue, je ne le faisais pas en me forçant, je ne faisais pas des bisous à tous les clients. Je lui fis un sourire et lui dit.

Oui, je surveillerais ton entrée...

Ce fus alors à mon tour de la taquiner sur ces pratique sexuelle, oui nous nous cherchions très souvent de la sorte. Ce n'était pas méchant, un brun taquin. Il me répondit sans gêne, je me doutais bien qu'il devait se faire plaisir. Sa demande me fis un peu rire, je le regarda, un sourire aux lèvres et lui dit.

Pour me faire fouetter...non merci...

Oui, se genre de truc ça ne me branchait pas, mais bon chacun était libre de pratiquer les activités de leur choix. Juàn s'approcha alors de moi et me fis un bisou dans le cou, il n'y avait rien de mal dans se bisou. Es ce que je trouvais Juàn attirant? Oui bien entendu, c'était un bel homme et en plus il était très sympathique, bon après je ne le connaissais pas du tout en dehors du club. Il sortit une bouteille de champagne rosé ainsi que deux coupes, puis il les posa sur la table. Il me questionna alors sur la suite de ma nuit. rien de bien exceptionnelle pour moi, j'allais la passer ici. Je lui retourna alors la question. Il me parla de ces compositions, je posa mon regard sur lui, le regardant dans les yeux.

Tu sais dans l'émotion il n'y a pas que la tristesse et j'aimerais bien t'écouter un jour...histoire de connaitre tes talent...

Oui, j'aimerais écouter ce qu'il écrit, avoir une avant première de chanson. Il me donna alors une coupe de champagne, oui je n'avais pas osez la prendre, allait savoir pourquoi. Après avoir trinquer, il me dit un petit truc qui me fit un peu rire, oui si Alistair apprenait qu'un client rapportait ces propre bouteille.

Me voilà rassurer, Alistair pourrais te bannir pour quelques nuits...je suis certaine que tu n’appréciait pas...

electric bird.

Sameira était si drôle parfois, c’était vraiment une fille extraordinaire car on pense souvent qu’une stripteaseuse fait ça pour baiser avec des clients mais cela devrait rencontrer ma petite Sam qui n’avait jamais couchée avec aucun de ses clients et je le sais de source sûr. Même Alistair appréciait son travail, il m’avait parlé d’elle et m’avait dit qu’elle avait été dans la rue et qu’il lui à proposer ce travail. Elle ne voulait pas de moi, je le savais mais il fallait que je l’aie. Je ne pouvais pas rester las devant tant de beauté. Elle me fit un bisou je sentais mon corps qui frétillait. Elle ne le savait pas mais mon corps était très attiré.

Elle n’était pas du genre à jouer avec le fouet… dommage mais bon je pouvais jouer aussi sans instrument personnellement. Je savais jouer autrement avec mes victimes. Cela ne me surprenait pas d’elle, il fallait que je fasse une petite réplique à la Juàn pour la faire rire un peu car elle semblait bien mélancolique ce soir. Ce n’est pas que ça me gênait mais je voulais la voir sourire plus que d’habitude. Je n’avais pas retirer mon masque vénitien, je le retira.

« Roh t’es pas drôle moi qui pensait que tu aimais ça mais au pire on peut faire sans jouet si tu veux Sameira, je peux faire sans et avec no problemo »

Elle parlait si bien de la musique, je suis sûr qu’elle la connaissait bien en fait. J’avais toujours pensé qu’elle avait fait d’un instrument car elle connaissait l’émotion et les mœurs de celle-ci. Certains de mes fans ne la connaissaient pas si bien alors que la plupart était tout de même des sortes de bourgeois de Los Angeles. Elle avait percée sûrement ma sensibilité dans la musique que je cachais dans certaines de mes partitions. Elle voulait m’écouter alors soit. Je sortis de la loge, remis mon masque pour aller chercher mon violon qui se trouvait prêt du bar puis je revins dans sa loge.

Oui oui je ne séparais jamais d’un violon surtout qu’en vrai, je ressortais d’un concert. Le violon je le mettais toujours au même endroit près du bar comme ça le barman le surveillait pour moi. En même temps je lui ramenais souvent des clientes donc, il s’était proposé pour le surveiller. Je regardais Sam, et je lui fis un sourire.

« Tu vois toujours avoir un violon sur soit pour faire plaisir à une jeune demoiselle surtout aussi belle. Surtout que quand tu me parles de musique, ça me donne envie de jouer et de faire vibrer ses petites cordes pour toi. Il n’y a pas que les cordes de ce violon qui vibre mais aussi mon cœur. Tu veux que je joue maintenant alors ?»

Je fis un sourire quand elle me parla d’Alistair. En même temps Alistair n’allait pas me virer puisqu’il ne me voyait presque jamais. Il était bien souvent très occupé à gérer son établissement et je ne l’embêtais pas du coup, il n’avait jamais capté ce petit plus que je ramenais à ses danseuses.

« Tu sais je ne pense pas qu’Alistair me bannisse sauf si on se dispute mais bon il n’est pas comme ça »

Je rigolais tellement en sa compagnie. Je m’installa sur le canapé de la loge et pris ma coupe en attendant son approbation pour jouer du violon.

UNE SOIRÉE DE TRAVAIL COMME LES AUTRES

JUAN & SAM

Je ne regrettais pas mon métier, je l'avais choisis, c'était grâce à lui que je mangeais et que je ne vivais pas dans la rue. J'étais bien consciente que ce métier était très mal vu, mais je n'avais jamais fais quelques choses de mal, je m'étais contenter du strip teause, rien de plus, malgré la proposition de certains clients. Oui incroyable le nombres d'hommes prêt à payer pour certain services et même si la sommes d'argent que l'on me proposait était très grosse, hors de question que j'accepte. Bref, une fois loin de la " scène " et seule avec Juàn, je pu enfin me relaxer en sa compagnie, que j’aimais beaucoup. Je ne m'ennuyais jamais avec lui et il avait tendance à me faire bien rire, puis il était tellement charmant.

Il avait retirer son masque, pour laisser voir son visage. Je préférais le voir sans masque. Nous avions plaisanter, sur certaines de ces pratiques ou pas avec le fouet. Moi ce n'était pas du tout mon style, très peu pour moi, je doutais même le faite que ce soi son style, il n'avait pas l'air comme cela. Ce qu'il me dit après me fis rire et je lui dit.

Attention je pourrais prendre ta proposition pour du sérieux...

Oui qui sais j'allais peut être commencer à croire que sa proposition était sérieuse. Nous parlions ensuite de musique, j'adorais la musique, mon père jouait du piano et du violon , sans même avoir pris des cours, je me souviens que je pouvais passer des heures à l'écouter jouer. Quand il était mort, maman avait eu du mal avec la musique et elle avait mis le violon dans une grosse caisse. Elle avait un peu chasser la musique de notre vie, mais elle était rapidement revenu. En arrivant aux USA ma mère avait trouver de domestique pour des gens très riche, l'homme de la famille était un chef d'orchestre. Il avait plein d'instrument et m'en avait appris quelques uns, mais depuis le temps, j'avais un peu oublier comment en jouer. Cependant j'avais toujours le violon de mon père, toujours enfermer dans cette caisse à souvenir.

Juàn sortis alors, mais revins rapidement avec son violon, il l'avait carrément amener ici. Quand il le sortis, je me rendis compte de la beauté de son instrument, il était tellement différent de celui de mon père, oui celui de mon défunt père était très usé, très vieux, mais hors de question que je m'en débarrasse, il avait appartenu à l'homme le plus fantastique du monde. Ce qu'il me dit alors après était très émouvant, même poétique, je ne l'imaginais pas avec une âme de poète.

Je ne t'imaginais pas avec une âme de poète...c'est une belle surprise...

Même si les hommes trop fleur bleu n'était pas mon style, j'aimais les hommes avec une âme poétique, un brun artistique. Bien entendu que j'avais envie qu'il joue, je le savais très doué, je l'avais souvent entendu jouer, il était tellement différent de cet homme au masque qui venait chaque soir au club. Il alla s'assoir sur le canapé, sa coupe à la main, avant de me dire du bien sur Alistair. Je travaillais pour lui depuis quelques semaines maintenant.

Cela se voit que c'est quelqu'un de bien...bien mieux que ce qu'il veut montré...il a du avoir des souffrance dans sa vie...

J'étais sur à 100% je pouvais le voir. J'avais fais ans de psycho à la fac, j'aurais aimer continuer, j'avais le don de ma mère, pouvoir voir les gens et les aider, elle n'avait pas pu faire d'études, mais elle aurait aimer pouvoir aider les gens en détresse. Je sortie de mes souvenir et alla rejoindre Juàn et m'assis prêt de lui.

Je veux bien t'écouter jouer, avec plaisir même...

electric bird.

Je pris alors mon violon et m’exécutai, il ne fallait pas me le demander à trente fois pour prendre mon violon. Surtout que comme je le disais vu que je ne m’en séparai jamais quand j’avais l’occasion dans jouer, j’étais content et puis peut-être qu’avec ça je pourrais enfin réussir à faire quelque chose avec Sameira mais en vrai qu’est ce qui pourrait arriver de plus, elle allait bientôt reprendre son numéro. Mais je pris mon archet et pincai les cordes avec délicatesse, je faisais un morceau plutôt joyeux.

Quand je jouais du violon, je jouais debout pour pouvoir en même temps faire mes mouvements. Je ressentis d’un coup une douleur à la tête, je ne pouvais pas faire de violon plus longtemps. Malheureusement pour moi j’allais devoir partir du club pour aujourd’hui sinon j’allais faire un malaise devant Sameira. Je m’approchai d’elle et lui fit un bisous dans le cou avant de partir.

« Je dois y aller ma chère, j’aurai bien voulu jouer un peu plus mais malheureusement je crois que la fatigue est venue un peu plus vite que prévu mais ne m’en veux pas hein je reviendrai sûrement demain. Bon courage pour toi en tout cas »

C’est alors que je retournai dans la salle pour au moins dire en revoir aux autres filles. Ainsi qu’à Alistair puis je repartis avec un taxi pour ne pas tomber en pleine rue. J’avais la flemme d’appeler une limousine. De toute façon le commun des mortels me manquait un peu parfois.

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