[18+] You wanna give it up - Stillian

Elle était du genre franc jeu et si ça pouvait souvent la sortir du pétrin ou même faire en sorte qu’on s’intéresse à elle vu sa force de caractère, elle sentait bien que cette fois-ci, elle avait simplement embarrassé, si ce n’était, blessée l’égo de l’homme. Elle aurait pu en rire au lieu de quoi elle ne savait plus réellement où se placer. Devait-elle détourner le regard de l’homme qui avait remit la cerise à sa place et s’était relevé pour lui tourner le dos? Elle ne put que baisser le regard et vouloir se taper le front avec sa paume de main.

Elle se trouvait idiote en ce moment, alors qu’elle lui avait fait des avances, il l’avait pris comme un reproche ou une pique. Après tout, avec leurs antécédents, c’était dur d’imaginer le contraire. Elle ne pouvait réellement croire qu’après autant d’années, elle pouvait toujours gaffer de la sorte. Après tout, n’avait-elle pas acquise de l’assurance? Oui, peut-être trop d’assurance au final. Le tact n’était pas réellement quelque chose d’inné chez elle et elle constatait en ce moment même que ce n’était pas non plus une capacité qu’elle avait acquise. À croire qu’elle aurait toujours sa grande bouche peu importe l’âge et la maturité qu’elle possédait.

Elle se sentait encore mal avant de sentir le matelas s’affaisser un peu à côté d’elle et de voir Steven revenir près d’elle et du plateau de fruit en prenant tout de même le soin de mettre un peu de couverture sur son corps. Encore une gifle en pleine figure. Elle allait réellement devoir apprendre à mieux dire les choses. Elle ne voudrait tout de même pas que tout redevienne froid et sans couleurs entre eux. Elle ne pouvait vivre avec un homme silencieux ou malaisé à chaque fois qu’elle croiserait son regard, c’était tout simplement impossible!

Pour une femme aussi extravertie et à la recherche de divertissement que Jillian, c’était l’échafaud direct plutôt que de vivre avec une personne sans vie. Sans magie. Elle le voit finalement prendre son téléphone avant de lui confirmer qu’il avait aussi sa journée pour lui. Elle ne pouvait croire qu’elle lui avait littéralement suggérer de passer la journée avec elle au lit et qu’il avait compris totalement autre chose. Croyait-il qu’elle se moquait de lui? Ou qu’elle faisait simplement lui montrer qu’elle avait eu raison de lui?

Elle allait presque lui faire un petit commentaire sur le fait que le déjeuner semblait volumineux pour sa seule personne pour le faire réagir, mais elle s’abstient. Elle le regardait simplement avec un regard qui voulait bien lui faire comprendre qu’elle avait envie de le partager avec lui, sinon, elle n’aurait eu qu’à se lever et tourner des talons pour s’enfuir. Elle s’attendait à se qu’il reprenne la parole, mais pendant un instant, tout est silencieux et elle le voit se perdre dans ses pensées. Elle n’ose pas casser la glace, même si c’était dans ses habitudes, elle est simplement là, ouvrant la bouche sans savoir quoi dire.

Elle soupire presque de soulagement quand Steven reprend la parole sans pour autant oser la regarder à nouveau dans les yeux. Cependant, elle comprend bien assez tôt que les mots de l’homme sont assez platoniques, pas qu’elle n’aimait pas qu’il la remercie, mais elle avouait qu’elle aurait préféré un sujet ou quelque chose à laquelle elle pourrait répondre davantage que merci à son tour.

Steven avait beau commencer à saisir le personnage de la petite Jillian, seulement, encore une fois, il semblait un peu dans le néant alors qu’elle restait silencieuse, son doigt allant cueillir un peu de chocolat à tartiner. « Oui, mais dans ma chambre, je ne pourrais pas faire cela. » À peine ces mots sortis de sa bouche qu’elle répandit son arme sucrée sur la joue de l’homme, gros sourire sur le visage, les yeux pétillants. Elle ne pouvait garder son sérieux et marcher sur des oeufs de longues heures n’était pas du tout dans sa bucket list. Elle était toujours une femme surprenante et elle espérait bien que Steven se mettrait de la partie pour mieux retrouver la complicité quelque peu essoufflée des dernières minutes.

Des fois je me demande ou je suis, j'ai l'impression qu'un iceberg m’était tombé dessus et même pas 5 minutes plus tard je me retrouve avec e la pâte à tartiner sur la joue avec une Jillian avec un visage d'enfant, un visage que je préfère voir que celui vraiment fermé qu'elle avait le premier mois. Je lui rends son sourire avant de me décider à jouer le jeu et commençais cette bataille de pâte à tartiner. Après quelques minutes on ressemble à des personnes pendant la guerre et la chambre je ne vous dis pas. Je regarde Jillian dans les yeux et pendant quelques secondes je pars m'imaginant venir lécher le chocolat qu'elle a sur les lèvres ou juste l'embrasser tendrement, je m'imagine mille et une choses mais en voyant qu'elle me regarde je me dis que faut peut-être que je dise quelque chose avant de passer pour un fou "Je crois que notre champ de bataille en a pris un coup, je sais qu'on avait prévu de passer la journée à faire autre chose mais sa te dérangerais de m'aider à faire le ménage? Je te laisse boire ton thé qui doit être froid et après on s'y met si tu veux m'aider bien sur" Je me lève le temps de la laisser boire son thé alors que moi j'essaye de ne pas remontrer l’effet qu'elle me fait en lui tournant le dos ce qu'il fait qu'elle a une vue sur mes fesses, qu'elle regarde ou pas je ne sais pas et je pars dans la cuisine chercher ce qu'il faudra pour un ou pour deux pour ce ménage qui va devoir être fait. Revenu à la chambre je ne rentre pas tout de suite car je croise un miroir et là encore une fois je remets en question beaucoup de choses tournées dans ma tête et bien sûr je resté bugué me demandant ce que je fais avec Jill, si je dois rester buté et tout ça ait que mon regard se porte sur la demoiselle en train de boire son thé et j'ai envie de lui sauter dessus mais j'entre comme si de rien n’était avec mon maquillage en chocolat "Alors il était bon? En fait je voulais te demander pourquoi tu pourrais pas le faire dans ta chambre? Ne me fait pas croire que la tienne est plus petite que la mienne" Oui je sais je reste très neutre, plus dans ce jeu de séduction alors que putain elle m’intéresse mais je ne sais pas si j'ai cassé un truc et vu que Jillian est une femme très fermée et secrète je ne sais pas si elle est toujours dans cette optique ou si même je me fais une idée et que je suis qu'un pote donc pour le moment je la regarde avec mes ustensiles pour faire le ménage mais ma seule envie c'est de lui faire autre chose mais je dois me contenir, et éviter de trop le montrer.

Tout se passa à une vitesse et elle ne put qu’être heureuse de le compter de la partie et voir le sourire qui fendait le visage de Steven. Elle ne put d’ailleurs s’empêcher de regarder ce corps qui se tortillait pour lui mettre du chocolat partout. Elle essayait tant bien que mal de ne pas l’attirer à elle lorsque ses doigts se posait sur la peau de l’homme. Elle ne pouvait s’empêcher de penser à toutes sortes d’envies et d’y percevoir les mêmes dans les yeux de l’homme. Ou du moins, c’est ce que son imagination semblait lui faire miroiter, alors que son corps se crispait. Elle mettait la faute sur le fait qu’elle tentait d’éviter les doigts de l’homme, le laissant parfois la tâcher aussi.

Après tout, ce n’était pas amusant de ne pas lui laisser de chance, ne serait-ce qu’une porte entrouverte une fois de temps à autre. Contradictoire? Oui, mais elle ne savait comment, il lui faisait tourner la tête et lui faisait vouloir tout le contraire de ce qu’elle croyait vouloir. Il lui vendrait bien de la crème glacée en hiver au lieu d’un chocolat chaud qu’elle aurait surement hésiter ne serait-ce que quelques secondes, les membres encore frigorifiés. N’avait-il pas un teint basané et un corps sculpté pour faire fondre n’importe qui?

Elle n’était pas totalement différente des autres se disait-elle en trouvant les yeux brunâtres de l’homme aussi moelleux que le creux d’un Lindor. Qui pouvait réellement croire que cet homme ne pouvait pas détourner toute femme hétérosexuelle du droit chemin ne serait-ce qu’une fois? Pas Jillian, malgré sa résistance qui semblait voler aussi rapidement qu’il manqua de pâte à tartiner dans le bol.

Elle fut d’ailleurs celle qui trempa ses doigts dans le vide, alors qu’ils se regardaient encore, dans un silence, alors que les éclats de rire et les airs de défis s’étaient éclipsés. Juste un moment de silence, un regard perçant et finalement des mots. Elle n’avait à peine le temps de répondre, que déjà, il filait chercher les serviettes humides la laissant avec comme seul soucis une scène de crime chocolaté sous les yeux et un thé tiède sous le nez. Du moins, c’est ce qu’elle croyait au début avant de constater à quel point le silence était présent sans l’homme dans la pièce. Même le moment présent n’avait rien de tangible ou de paisible sans lui.

Si elle avait gardé un œil sur l’homme pendant tout son trajet vers la cuisine, elle finit par reporter son regard sur la douillette, le cerveau encore plus retourné. Elle était encore plus grugée par cette soudaine solitude et par ce moment qui semblait tout droit sortie d’une idylle que de la réalité que par les remords qu’elle avait eu plus tôt avec son manque flagrant de tact. Elle était totalement en train de se prendre la tête à savoir ce que tout cela allait bien apporter à leur cohabitation sans même entendre le parquet craqué ou prendre conscience du retour de l’homme vers sa chambre.

C’était maintenant à elle d’être pensive il fallait croire, sirotant à petites gorgées son thé, les yeux bleus se baignant encore dans les vagues tumultueuses d’une mer de tissu. Elle relèva aussitôt le regard vers l’homme quand il reprit la parole comme s’il venait de la prendre la main dans le sac. En flagrant délit. Elle était trop sérieuse là, pensa-t-elle, les jambes en tailleur à réfléchir à ses agissements, leurs agissements.

Elle reposa sa tasse sur la soucoupe, avant de hocher la tête la main sur la deuxième main devant sa bouche pour parler de la qualité du thé. « La parfaite harmonie, je sais à qui demander de me faire une bonne tasse de thé maintenant. Et pour ta plus grande indiscrétion, c’était pour m’éviter d’avoir à nettoyer un tel carnage dans la mienne.» Elle lui tira la langue tout en lui faisant un clin d’œil, avant de tendre la main pour avoir un chiffon avec un petit « Aller, donne moi ça que je puisse te filer un coup de main. »

Se levant du lit, elle s’approcha de Steven, prenant un linge d’entre ses mains en commençant à essuyer une tâche sur l’avant-bras de l’homme et de planter son regard bleuté sur les pupilles foncés de Steven. « On devrait avant tout se décrasser avant de s’attaquer à tout cela, tu ne crois pas? » Et tout en parlant, elle rapprocha son corps du sien, venant essuyer une tâche sur sa joue. « T’aurais pas un chandail en trop qui traîne ? » ajouta-t-elle ne lui demandant pas réellement son avis sur la question avant de commencer une fouille archéologique. Surement de peur qu’il la repousse ou qu’il ne lui reproche son côté envahissant.

Cherchant déjà des yeux et touchant un peu à tâtons tout ce qui pouvait lui tomber sous la main d'un oeil curieux, comme si tout ce qu'elle touchait ou observait pourrait l'informer sur l'homme avant d'attraper un chandail lui appartenant. Elle fit alors glisser sa tunique en soie sur ses épaules avant de retirer sans la moindre gêne ni la moindre pudeur sa camisole et enfiler son t-shirt. « Tu veux que je m’occupe d’envoyer les draps au lavage ou… »

Elle le regardait et se demandait s’il n’était pas préférable pour eux de « parler de ce qui… s’est passé ou de ce qui se passe depuis ce matin entre nous ? » Elle avait beau laisser les mots filer d’entre ses lèvres, elle ne savait trop si elle ne brusquait pas trop la situation et si elle ne finirait pas plutôt par se braquer plutôt que de laisser son inconscient lui souffler ses répliques.    

Je pensais pas revivre sa mais à nouveau quand je reviens dans la chambre je retrouve une Jillian pensive, pensant au début qu'elle pense à tout et rien tout va très vite et elle se retrouva assez vite proche, très proche de moi et son odeur et sa chaleur corporelle encore une fois m'enivre et me donne un coup de chaud mais une seconde fois tout s’arrête d'un coup quand elle part chercher un de mes t-shirts pour le mettre; je pourrais lui reprocher car elle a foutu ma chambre en bordel encore plus mais je me contente de sourire puis la voyant se changer je ressens encore un coup de chaleur et bien sûr mes yeux ne peuvent que parcourir son corps avec une terrible envie de toucher mais je me contente de répondre "En tout cas je vois que mon t-shirt te va très bien, tu pourrais presque e le piquer que je m'en rendrais pas compte" Bon je mens car si une seule de mes affaires disparaît je fais une enquête avec toute la police de LA dessus car vu le nombre d’habit que je n'ai vaut mieux pas que j'en perde mais à ce moment la je sais plus vraiment ce que je dis et alors que mademoiselle Jillian commence à parler de la tache chiante a faire qui est le ménage elle s’arrête et aborde un sujet plus...intéressant: ce qui se passe depuis ce matin! Je sais qu'elle comme moi ne montrant beaucoup mais nous parlons beaucoup moins et ce sujet pourrait me mettre mal à l'aise mais en même temps je ne vais pas me cacher pendant des heures et dès heure ce qui se passe je dois lui en parler elle a peut-être des choses à me dire aussi, elle va peut-être me casser mes rêvés ou inversement mais d'un côté il faut que des mots sortent et expliquent ce qui se passe entre nous deux donc alors que le rouge a déjà atteint mes joues pourtant bien halées je me pose sur le lit "Tu dois savoir que je ne suis pas un grand ni un beau parleur et tu as bien vu que depuis hier on a passé à mes yeux un cap, tu n'es plus une étrangère à mes yeux et surtout j'apprends à connaitre une Jillian que je pensais pas connaitre tu es drôle, tu as un côté enfantin assez plaisant et mignon et surtout tu ne te prends pas la tête et ça me plaît alors je sais pas ce que toi tu en penses je sais même pas si tu voulais parler de ça mais je voulais te dire que j'aime apprendre à te connaitre et que ses moments sons très plaisants" Sitôt la phrase finit je baisse la tete car j'ai clairement peur de la réponse, et surtout car si je la regarde encore et que je me plonge dans ses yeux je risque de l'embrasser voir lui faire l'amour et elle n'a peut-être pas du tout envie ou même je l’intéresse pas mais à ce moment-là tout est chamboulé: ma tête, mon cœur, mon corps, tout! Je regarde mes pieds sur le lit n'osant pas relever la tète et attend la sentence, comme un enfant qui attend sa punition je regarde le sol et d'un côté je me dis que j’espère qu'elle pense pareille voir mieux mais d'un côté je n'y crois pas du tout et je me dis que moi avec elle sait comme la belle et la bête et cela ne marche que dans les histoires dites aux enfants pas dans la vie dite réelle.

Elle aurait mis sa main au feu qu’il l’avait maté lorsqu’elle avait fait glisser sa tunique vers le sol et qu’elle avait enfilé son t-shirt. Si Jillian croyait que le message allait être clair, elle devait s’être trompée, car outre le fait qu’elle s’était sentie dévorée des yeux, aucune avance de l’homme, si ce n’était ce petit compliment. Il était donc si dur de faire tomber la garde à Steven, si dur de le faire céder? Elle ne pouvait croire qu’il pouvait encore résister à toute cette mise en scène. Elle, elle ne voulait plus réellement attendre. Elle voulait qu’il la touche sans qu’il y ait seulement du chocolat d’impliqué. Elle voulait goûter ses lèvres sans qu’elle soit celle qui prenne les rênes.

Elle avait beau se dire que peu d’homme serait resté aussi patient que Steven, mais un petit doute sur son pouvoir de séduction la fit alors prendre la décision d’aborder le sujet du ménage. Du moins, avant qu’elle n’ait l’esprit mal placé. Elle avait bien failli lui faire une proposition bien plus excitante qu’une bataille de chocolat dans ces draps avant de se voiler à moitié la face et de tourner sa phrase vers quelque chose de beaucoup plus raisonnable et avec un brin de timidité dans la voix.

Aussitôt, elle ne put que remarquer la rougeur accaparée les joues basanés de l’homme et lui arracher un petit sourire enfantin. Elle n’avait pas réagi de la sorte depuis une bonne dixaine d’années au moins. Elle finit toutefois par cacher son sourire béat en voyant la mine un peu hésitante, si ce n’était son expression à moitié espérant et à moitié débité de l’homme. Elle resta un peu pantoise devant les mots de l’homme. Était-ce lui qui lui envoyait un message clair ou voulait-elle simplement l’interpréter ainsi? Ces mots semblaient autant s’appliquer à la naissance d’une amitié que d’une flamme déclarée, cependant, ne semblait-il pas perdre trop ses moyens pour que ça l’implique seulement quelques verres, quelques terrasses ou quelques matchs et séries télévisées entre potes?

Si Jillian aimait bien cette idée d’avoir toujours quelqu’un avec qui plaisanter et rire, elle aimait aussi imaginer Steven nu et enclin à satisfaire la flamme qui lui brûlait le bas-ventre en rentrant à son appartement. Tout semblait aller trop vite et elle ne savait plus réellement si elle avait eu assez de temps pour le connaître et réciproquement. Seulement, elle ne pouvait réellement espérer tirer un trait sur le désir de lui sauter dessus présentement, après tout, ils étaient tous deux des adultes consentants et n’étaient certainement pas novices en la matière.

Elle ne put donc contenir son énervement plus longtemps. « Je suis curieuse de savoir comment ces mots seraient intepréter en actions. » Elle était à peine surprise d’elle-même, elle était tout simplement heureuse de ne plus jouer le jeu dont il avait peut-être abusé. Elle le regardait et elle n’avait plus de moue moqueuse ou joueuse. La sincérité se lisait chez elle et elle n’avait qu’une hâte : connaître ce que Steven lui ferait et connaître comment il s’y prenait avec la gente féminine ou du moins, comment il s’y prendrait avec elle.

Elle ne savait ce que son regard exprimait, mais elle se sentait brûlante et espérait simplement ne pas devoir réfréner ses ardeurs car elle avait fait une mauvaise supposition sur les sentiments de Steven. D’ailleurs, elle ne pouvait croire que maintenant, c’était elle qui frémissait et doutait alors qu’elle avait alimenté agressivement le feu en balançant son t-shirt et en s'approchant de lui, déjà à moitié nue. Elle le consultait du regard, avec une certaine supplication. Un appel d’urgence de la délivrer de l’attente. Ou de ne pas la rejeter. Elle ne savait trop si elle devait prendre pour acquis qu'il voulait d'elle aussi. Et sans dire s'il voulait d'elle maintenant qu'elle semblait vulnérable.    
   

Au début je fus choqué, un peu dépassé comme si mon cerveau et mon corps n'allaient plus ensemble et je restai la plantée alors qu'en face de moi il y a la femme que je désire, que je convoite depuis bientôt un mois et là elle est à moitié nu devant moi et moi, je suis bloqué. Je la regarde des tas de mots veulent sortir de ma bouche mais rien ne sort, plus un son ne peut sortir, je vois ses yeux qui me supplient presque de l'embrasser et bien plus et j'ai envie mais j'ai toujours un côté qui se doit que c'est trop facile mais a un moment ne devons-nous pas juste lâcher la corde, laisser aller son corps et faire comme on veut? Si et c'est ce que je décide de faire quand je m'approche d'elle et que mes lèvres viennent se coller aux siennes et que mes mains viennent se poser sous ses fesses, sur sa culotte qui bien sur ne fait qu'augmenter mon désir. Mes mains la soulèvent et la jeune femme vient enrouler ses jambes autour de ma taille ne quittant plus mes lèvres, les yeux fermés et on laisse juste nos langues s'apprivoiser, je sens son corps brûlant, son cœur qui risque de sortir de sa poitrine tellement il boit, ses lèvres humides et sucrées, comme un bonbon et le désir qui monte et monte. Après une séance de baiser très passionné je me laisse tomber sur le lit avec encore la jeune femme dans les bras, elle ouvre les yeux, ses beaux yeux bleus turquoise qui me percent et je n'ai aucun mot qui sorte de ma bouche je me contente de lui sourire mais ce fut de courte durée car comme si nos corps était désormais aimanté elle me pousse sur le lit, se met à cheval sur moi et le baiser reprend. N'ayant pas de t shirt et seul un boxer je sais qu’étant dans cette position elle va très vite sentir l'effet qu'elle me fait et surtout que ça peut vite tourner à un moment plus hot mais je m'en fous, j'ai envie de profiter d'apprendre ce qu'elle le sexe avec une "personne" comme elle et surtout me laisser vivre, je peux souffrir mais à cette heure je ne veux qu'elle et personne d’autre et sa PERSONNE ne me l’enlèvera